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Enquête sur la consultation d'art et histoire de l'art en ligne
Venir voir les manuscrits de Baudelaire dans l’exposition BnF ou regarder sur Instragram une story sur l’exposition, qu’est-ce que ces pratiques ont à voir entre elles et que disent-elles de la fréquentation des musées à venir ?
Participer à l’enquête
La BnF et le Labex ICCA (Industries Culturelles et Créations artistiques) conduisent une étude sur des contenus numériques particuliers : ceux qui traitent de sujets culturels, comme l’art, l’histoire de l’art, les musées….et qui sont produits, puis mis en ligne par des créateurs indépendants sur les réseaux sociaux (par exemple YouTube, Instagram…) ou d’autres plateformes. Une enquête par questionnaire est mise en ligne pour en savoir plus sur celles et ceux qui sont amateurs de ces contenus ou qui en consultent simplement de temps en temps. Si vous souhaitez participer à l’enquête et peut-être gagner des ouvrages sur le sujet, l’enquête est ouverte du 15 au 31 mars :
Participer à l’enquête sur la consultation d’art et histoire de l’art en ligne
Le projet de recherche
Cette enquête est réalisée dans le cadre d’une collaboration de recherche sur les nouvelles formes de prescription et de médiation dans le domaine de l’art et de l’histoire de l’art qui passent par les plates-formes du web. Les créateurs de contenus, parfois appelés « influenceurs de l’art » réalisent des vidéos Youtube expliquant un point de l’histoire d’un artiste, font visiter une expo en live sur Twitch, mettent en avant des œuvres et des sujets dans des story imagées sur Instagram, racontent une nouveauté dans la recherche en histoire de l’art dans un podcast ou un blog. Marie Ballarini, docteure en science de l’information et de la communication, mène donc une recherche sur la place que ces acteurs prennent dans l’environnement de la culture et des musées : comment ces productions s’articulent avec les discours des acteurs traditionnels et notamment des établissements comme la BnF ? Et qui sont les amateurs de ces contenus en ligne, quels sont leurs pratiques numériques et leurs goûts culturels ? Cherchent-ils des sujets ou des méthodes d’apprentissages nouveaux ?