L’histoire humaine est ponctuée d’inventions techniques : l’outil, le feu domestiqué, l’agriculture et l’élevage, l’écriture, la machine, les moteurs, les récentes technologies de l’information et biotechnologies… Nous avons l’habitude de considérer ces innovations comme les marques de l’exception humaine, comme ce qui fait de nous autre chose que des animaux, ce qui nous met au-dessus de la nature pour la dominer.
Ne pourrait-on pas, au contraire, considérer cette histoire des inventions techniques humaines comme un chapitre de l’histoire du vivant, comme un épisode (récent) de son évolution ? Ne pourrait-on pas aller emprunter aux sciences du vivant les concepts qui nous manquent pour la comprendre ?
Tel est le propos de ce cycle de trois conférences, données par Roland Schaer, philosophe, auteur de Répondre du vivant.
L’histoire humaine est ponctuée d’inventions techniques : l’outil, le feu domestiqué, l’agriculture et l’élevage, l’écriture, la machine, les moteurs, les récentes technologies de l’information et biotechnologies… Nous avons l’habitude de considérer ces innovations comme les marques de l’exception humaine, comme ce qui fait de nous autre chose que des animaux, ce qui nous met au-dessus de la nature pour la dominer.
Ne pourrait-on pas, au contraire, considérer cette histoire des inventions techniques humaines comme un chapitre de l’histoire du vivant, comme un épisode (récent) de son évolution ? Ne pourrait-on pas aller emprunter aux sciences du vivant les concepts qui nous manquent pour la comprendre ?
Tel est le propos de ce cycle de trois conférences, données par Roland Schaer, philosophe, auteur de Répondre du vivant.