À noter : fermeture anticipée à 15 h de tous les sites de la BnF le mardi 31 décembre.
Pour rappel, tous les sites de la BnF sont fermés le mercredi 1er janvier.
Ce colloque autour du droit est l’occasion pour des juristes, conservateurs, architectes-urbanistes et jardiniers de s’engager dans une réflexion à la croisée de domaines variés.
Le jardin, objet de multiples représentations dans nos imaginaires, est une affaire culturelle, une construction de l’être humain qui se projette dans l’idée qu’il se fait de la nature. Pure ressource alimentaire pour les uns, œuvre d’art pour les autres, lieu symbolique dédié à la rêverie ou espace tiré au cordeau, lieu privé ou communautaire, végétal ou minéral, force est de constater que le jardin est l’expression de ce qu’un individu, un groupe, une société souhaitent reproduire de la nature. Si dès le XIXe siècle, au moment où la presse prend son essor en France, sont apparus de très nombreux bulletins d’horticulture de toutes sortes et de toutes régions, ainsi que des annales de jardiniers professionnels ou amateurs, ce n’est que depuis quelques décennies qu’ont vu le jour des formes très variées de jardins, particulièrement dans les villes. Les profils des créateurs de ces espaces, les formes de ces lieux physiques ou encore les modes de production et d’entretien des végétaux sont multiples. Ces jardins sont porteurs d’enjeux de patrimoine, de création artistique, urbanistique, de partage social. Le colloque Droit(s) et jardin qui rassemblera juristes, conservateurs, architectes-urbanistes et jardiniers donnera l’occasion d’examiner, dans une approche pluridisciplinaire, une problématique où les questions juridiques sont légion. La réflexion s’appuiera sur les collections de la BnF, riches de traités, de représentations iconographiques de jardins, d’herbiers, de nombreux ouvrages et périodiques, sans oublier le jardin-forêt du site François-Mitterrand qui fera l’objet d’une présentation.
En partenariat avec l’université Paris 13, l’université d’Orléans et le soutien du Labex ICCA.
Ce colloque autour du droit est l’occasion pour des juristes, conservateurs, architectes-urbanistes et jardiniers de s’engager dans une réflexion à la croisée de domaines variés.
Le jardin, objet de multiples représentations dans nos imaginaires, est une affaire culturelle, une construction de l’être humain qui se projette dans l’idée qu’il se fait de la nature. Pure ressource alimentaire pour les uns, œuvre d’art pour les autres, lieu symbolique dédié à la rêverie ou espace tiré au cordeau, lieu privé ou communautaire, végétal ou minéral, force est de constater que le jardin est l’expression de ce qu’un individu, un groupe, une société souhaitent reproduire de la nature. Si dès le XIXe siècle, au moment où la presse prend son essor en France, sont apparus de très nombreux bulletins d’horticulture de toutes sortes et de toutes régions, ainsi que des annales de jardiniers professionnels ou amateurs, ce n’est que depuis quelques décennies qu’ont vu le jour des formes très variées de jardins, particulièrement dans les villes. Les profils des créateurs de ces espaces, les formes de ces lieux physiques ou encore les modes de production et d’entretien des végétaux sont multiples. Ces jardins sont porteurs d’enjeux de patrimoine, de création artistique, urbanistique, de partage social. Le colloque Droit(s) et jardin qui rassemblera juristes, conservateurs, architectes-urbanistes et jardiniers donnera l’occasion d’examiner, dans une approche pluridisciplinaire, une problématique où les questions juridiques sont légion. La réflexion s’appuiera sur les collections de la BnF, riches de traités, de représentations iconographiques de jardins, d’herbiers, de nombreux ouvrages et périodiques, sans oublier le jardin-forêt du site François-Mitterrand qui fera l’objet d’une présentation.
En partenariat avec l’université Paris 13, l’université d’Orléans et le soutien du Labex ICCA.