À noter : fermeture anticipée à 15 h de tous les sites de la BnF les mardis 24 et 31 décembre.
Pour rappel, tous les sites de la BnF sont fermés les mercredis 25 décembre et 1er janvier.
La pandémie a remis en lumière notre vulnérabilité face à la souffrance et à la mort. Elle a remis au centre des préoccupations le travail du « care », c’est-à-dire le travail du soin entendu non comme « simple » traitement d’une pathologie, mais comme la sollicitude et l’accompagnement concret de la vulnérabilité de l’autre.
Face à la grande vulnérabilité des patients qui ont éprouvé ou éprouvent physiquement les effets de la maladie, les soignants ont témoigné de leur engagement moral au service des patients et de leur volonté de mettre en œuvre un soin humain et responsable. Ils ont aussi exprimé leur souffrance, restée jusque-là silencieuse.
Pourtant, avant la pandémie, le burn-out était déjà en constante augmentation dans les métiers soignants. Cette souffrance a des conséquences sur la santé mentale et physique des personnes qu’elle affecte (le burn-out peut conduire à la dépression voire au suicide). Elle a aussi des conséquences pour la santé des patients (le burn-out se traduit par un manque d’empathie, du cynisme, et un risque d’erreur accru).
Cette séance est consacrée à une analyse philosophique des facteurs qui contribuent au burn-out des soignants, et donc aux difficultés à mettre en œuvre un soin ajusté à la vulnérabilité des patients.
La pandémie a remis en lumière notre vulnérabilité face à la souffrance et à la mort. Elle a remis au centre des préoccupations le travail du « care », c’est-à-dire le travail du soin entendu non comme « simple » traitement d’une pathologie, mais comme la sollicitude et l’accompagnement concret de la vulnérabilité de l’autre.
Face à la grande vulnérabilité des patients qui ont éprouvé ou éprouvent physiquement les effets de la maladie, les soignants ont témoigné de leur engagement moral au service des patients et de leur volonté de mettre en œuvre un soin humain et responsable. Ils ont aussi exprimé leur souffrance, restée jusque-là silencieuse.
Pourtant, avant la pandémie, le burn-out était déjà en constante augmentation dans les métiers soignants. Cette souffrance a des conséquences sur la santé mentale et physique des personnes qu’elle affecte (le burn-out peut conduire à la dépression voire au suicide). Elle a aussi des conséquences pour la santé des patients (le burn-out se traduit par un manque d’empathie, du cynisme, et un risque d’erreur accru).
Cette séance est consacrée à une analyse philosophique des facteurs qui contribuent au burn-out des soignants, et donc aux difficultés à mettre en œuvre un soin ajusté à la vulnérabilité des patients.