La littérature numérique aujourd’hui et demain : préserver l’« art programmé » – Les formes programmées dans Orion de Tibor Papp
4 fév. 2022 Durée : 24 min
Avec un cycle de rencontres consacré aux nouvelles écritures, la BnF met en lumière la création audiovisuelle et multimédia, dont les productions et expérimentations représentent un défi en termes de conservation et d’archivage.
Pour conclure le projet de recherche « Machines à lire les arts numériques : interface et médiation » de l’Ecole universitaire de recherche ArTeC mené en partenariat avec l’université Paris 8, la BnF propose une journée d’étude qui s’interroge sur les stratégies de préservation des arts programmés.
La première partie de la matinée présente les résultats des travaux menés dans le cadre de ce projet de recherche. Il est ensuite question de la préservation de l’œuvre de Tibor Papp qui a constitué un des axes de recherche de cette dernière année mené par Philippe Bootz (Université Paris 8) en collaboration avec Erzsébet Kelemen (Szent József Óvoda, Általános Iskola, Gimnázium és Kollégium de Debrecen), Erika Fülöp (Lancaster university) et Bernadett Sulyok (Petöfi Literary Museum de Budapest).
L’après-midi est l’occasion de comparer les approches de différents acteurs engagés dans la préservation de l’art numérique.
Avec un cycle de rencontres consacré aux nouvelles écritures, la BnF met en lumière la création audiovisuelle et multimédia, dont les productions et expérimentations représentent un défi en termes de conservation et d’archivage.
Pour conclure le projet de recherche « Machines à lire les arts numériques : interface et médiation » de l’Ecole universitaire de recherche ArTeC mené en partenariat avec l’université Paris 8, la BnF propose une journée d’étude qui s’interroge sur les stratégies de préservation des arts programmés.
La première partie de la matinée présente les résultats des travaux menés dans le cadre de ce projet de recherche. Il est ensuite question de la préservation de l’œuvre de Tibor Papp qui a constitué un des axes de recherche de cette dernière année mené par Philippe Bootz (Université Paris 8) en collaboration avec Erzsébet Kelemen (Szent József Óvoda, Általános Iskola, Gimnázium és Kollégium de Debrecen), Erika Fülöp (Lancaster university) et Bernadett Sulyok (Petöfi Literary Museum de Budapest).
L’après-midi est l’occasion de comparer les approches de différents acteurs engagés dans la préservation de l’art numérique.