L’estampe intitulée Les moines de Ménilmontant, issue du catalogue Le Siècle des saint-simoniens (BnF, 2006), offre une vision à la fois amusante et très informée des activités domestiques auxquelles se livrent les saint-simoniens ayant suivi Prosper Enfantin dans la retraite de Ménilmontant, en 1832. Cuisine, jardinage, vaisselle ou cirage de bottes (au sens propre !) : les tâches ménagères des disciples saint-simoniens peuvent rappeler celles de notre premier confinement – sauf que leur « retraite » (plus religieuse que militaire) est volontaire… À la lumière de cette estampe, Anne-Bérangère Rothenburger, conservatrice à la Bibliothèque de l’Arsenal, propose de revisiter les particularités de ce confinement saint-simonien.
L’estampe intitulée Les moines de Ménilmontant, issue du catalogue Le Siècle des saint-simoniens (BnF, 2006), offre une vision à la fois amusante et très informée des activités domestiques auxquelles se livrent les saint-simoniens ayant suivi Prosper Enfantin dans la retraite de Ménilmontant, en 1832. Cuisine, jardinage, vaisselle ou cirage de bottes (au sens propre !) : les tâches ménagères des disciples saint-simoniens peuvent rappeler celles de notre premier confinement – sauf que leur « retraite » (plus religieuse que militaire) est volontaire… À la lumière de cette estampe, Anne-Bérangère Rothenburger, conservatrice à la Bibliothèque de l’Arsenal, propose de revisiter les particularités de ce confinement saint-simonien.