La Direction générale de l’enseignement scolaire et l’Inspection générale des Lettres ont inauguré il y a deux ans, en partenariat avec la Bibliothèque nationale de France et le Celsa (Paris-Sorbonne), un grand rendez-vous national intitulé « Les Métamorphoses du livre et de l’écriture à l’heure du numérique ». En se renouvelant chaque année, ce Rendez-vous a vocation à devenir un lieu d’échanges réguliers avec les partenaires naturels du professeur de lettres que sont bibliothécaires, écrivains, éditeurs, libraires, artistes et professionnels du livre. Cette année il s’agira de faire percevoir le devenir de l’œuvre au fil de l’écriture numérique. Entre mobilité et fragmentation, l’œuvre ne risque-t-elle pas de se perdre sur le web ? Assiste-t-on au contraire à l’émergence de nouvelles « humanités numériques » ?
En effet, si les compétences requises pour ces nouvelles « littératies » supposent des apprentissages d’un type inédit, la culture numérique s’ancre aussi dans notre patrimoine humaniste. « Écrire web », c’est en quelque sorte réinventer la littérature d’aujourd’hui.
La Direction générale de l’enseignement scolaire et l’Inspection générale des Lettres ont inauguré il y a deux ans, en partenariat avec la Bibliothèque nationale de France et le Celsa (Paris-Sorbonne), un grand rendez-vous national intitulé « Les Métamorphoses du livre et de l’écriture à l’heure du numérique ». En se renouvelant chaque année, ce Rendez-vous a vocation à devenir un lieu d’échanges réguliers avec les partenaires naturels du professeur de lettres que sont bibliothécaires, écrivains, éditeurs, libraires, artistes et professionnels du livre. Cette année il s’agira de faire percevoir le devenir de l’œuvre au fil de l’écriture numérique. Entre mobilité et fragmentation, l’œuvre ne risque-t-elle pas de se perdre sur le web ? Assiste-t-on au contraire à l’émergence de nouvelles « humanités numériques » ?
En effet, si les compétences requises pour ces nouvelles « littératies » supposent des apprentissages d’un type inédit, la culture numérique s’ancre aussi dans notre patrimoine humaniste. « Écrire web », c’est en quelque sorte réinventer la littérature d’aujourd’hui.