Pour la cinquième année consécutive, la BnF invite le public, le temps d’un week-end, à écouter les mille et une voix de la Bibliothèque. Lectures, performances et spectacles habiteront les espaces du site François-Mitterrand, inspirés cette année par l’exposition phare de la saison, Henri Cartier-Bresson. Le Grand Jeu.
À partir de leur rencontre en 1994, Pierre Assouline et Henri Cartier-Bresson n’ont pas cessé leur échange. Le photographe qui refusait qu’on le photographie détestait les interviews, seule la conversation l’intéressait. Celle qu’il a eue avec le journaliste a été si féconde qu’il a accepté qu’elle devienne le matériau d’un travail biographique. Pierre Assouline raconte le travail qu’il a consacré « au plus grand photographe vivant, au dessinateur ressuscité, au reporter au long cours, à l’aventurier tranquille, au voyageur d’un autre temps, au contemporain capital, à l’évadé permanent, au géomètre obsessionnel, au bouddhiste agité, à l’anarchiste puritain, au surréaliste non repenti, au symbole du siècle de l’image, à l’œil qui écoute ».
La rencontre est ponctuée de lectures de textes et de projections d’images du photographe.
Pour la cinquième année consécutive, la BnF invite le public, le temps d’un week-end, à écouter les mille et une voix de la Bibliothèque. Lectures, performances et spectacles habiteront les espaces du site François-Mitterrand, inspirés cette année par l’exposition phare de la saison, Henri Cartier-Bresson. Le Grand Jeu.
À partir de leur rencontre en 1994, Pierre Assouline et Henri Cartier-Bresson n’ont pas cessé leur échange. Le photographe qui refusait qu’on le photographie détestait les interviews, seule la conversation l’intéressait. Celle qu’il a eue avec le journaliste a été si féconde qu’il a accepté qu’elle devienne le matériau d’un travail biographique. Pierre Assouline raconte le travail qu’il a consacré « au plus grand photographe vivant, au dessinateur ressuscité, au reporter au long cours, à l’aventurier tranquille, au voyageur d’un autre temps, au contemporain capital, à l’évadé permanent, au géomètre obsessionnel, au bouddhiste agité, à l’anarchiste puritain, au surréaliste non repenti, au symbole du siècle de l’image, à l’œil qui écoute ».
La rencontre est ponctuée de lectures de textes et de projections d’images du photographe.
Lectures par Nathalie Cohen