Qui ne connaît pas le conte de La Belle et la Bête, immortalisé par Jean Cocteau puis par Walt Disney ?
Officiellement à l’usage des enfants pour leur enseigner les valeurs morales, les contes résonnent étrangement en nous bien des années plus tard. C’est ce qu’ont bien compris le compositeur André-Modeste Grétry et le librettiste Jean-François Marmontel, quand ils adaptent en 1771 La Belle et la Bête, conte de Madame Leprince de Beaumont, pour la cour de Versailles.
Grétry nous offre un opéra-comique et une partition très dynamique, riche en contrastes, en dialogues et en ensembles - duos, trios, quatuors - qui nous font passer à tout moment du pathétique au burlesque.
Qui ne connaît pas le conte de La Belle et la Bête, immortalisé par Jean Cocteau puis par Walt Disney ?
Officiellement à l’usage des enfants pour leur enseigner les valeurs morales, les contes résonnent étrangement en nous bien des années plus tard. C’est ce qu’ont bien compris le compositeur André-Modeste Grétry et le librettiste Jean-François Marmontel, quand ils adaptent en 1771 La Belle et la Bête, conte de Madame Leprince de Beaumont, pour la cour de Versailles.
Grétry nous offre un opéra-comique et une partition très dynamique, riche en contrastes, en dialogues et en ensembles - duos, trios, quatuors - qui nous font passer à tout moment du pathétique au burlesque.