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Histoire /
Édouard Chavannes et la sinologie moderne en France
Chavannes, l’expérience de la Chine et la « science indigène » – Conclusion
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Édouard Chavannes et la sinologie moderne en France – 7/7BnF
Chavannes, l’expérience de la Chine et la « science indigène » – Conclusion
14 oct. 2024 Durée : 52 min
À l’occasion du centenaire de l’Institut des hautes études chinoises (IHEC), la BnF et le Collège de France organisent un colloque international autour de l’œuvre de Édouard Chavannes (1865-1918) et de ses héritiers.
Si la France a été le premier pays en Europe à avoir institutionnalisé la sinologie en 1814 par la création d’une chaire au Collège de France, c’est avec Édouard Chavannes (1865-1918) qu’elle entre dans son ère moderne. Bien qu’il n’ait pas été témoin de la fondation à Paris de l’Institut des hautes études chinoises (IHEC) en 1920, ce sont ses élèves, Paul Pelliot et Marcel Granet, qui en furent les principaux animateurs.
À l’occasion du centenaire de l’Institut des hautes études chinoises (IHEC), la BnF et le Collège de France organisent un colloque international autour de l’œuvre de Édouard Chavannes (1865-1918) et de ses héritiers.
Si la France a été le premier pays en Europe à avoir institutionnalisé la sinologie en 1814 par la création d’une chaire au Collège de France, c’est avec Édouard Chavannes (1865-1918) qu’elle entre dans son ère moderne. Bien qu’il n’ait pas été témoin de la fondation à Paris de l’Institut des hautes études chinoises (IHEC) en 1920, ce sont ses élèves, Paul Pelliot et Marcel Granet, qui en furent les principaux animateurs.