Éric Lefebvre
Musée Cernuschi
- Histoire /
- Édouard Chavannes et la sinologie moderne en France
Regards sur la peinture chinoise, Chavannes et Raphaël Petrucci, commentateurs de la première exposition de peinture chinoise du musée Cernuschi
Édouard Chavannes et la sinologie moderne en France – 4/7
BnF
Explorer cette thématique : Histoire
15 déc. 2017
Entre estime et rivalité : les relations entre la France et le Royaume d’Italie de la défaite de Sedan à la marche sur Rome (1870-1922)
12 juin. 2014
Partir en guerre avec les cartes du Service géographique de l'armée : le rapport Gervais 1917
Explorer cette thématique : Édouard Chavannes et la sinologie moderne en France
14 oct. 2024
À l’occasion du centenaire de l’Institut des hautes études chinoises (IHEC), la BnF et le Collège de France organisent un colloque international autour de l’œuvre de Édouard Chavannes (1865-1918) et de ses héritiers.
Si la France a été le premier pays en Europe à avoir institutionnalisé la sinologie en 1814 par la création d’une chaire au Collège de France, c’est avec Édouard Chavannes (1865-1918) qu’elle entre dans son ère moderne. Bien qu’il n’ait pas été témoin de la fondation à Paris de l’Institut des hautes études chinoises (IHEC) en 1920, ce sont ses élèves, Paul Pelliot et Marcel Granet, qui en furent les principaux animateurs.