En 2021, Christian Delage a fait don de ses archives audiovisuelles à la BnF. À cette occasion, il est invité à évoquer son parcours et la manière dont ses deux carrières d’historien et de réalisateur se nourrissent l’une l’autre. Son dernier film, 13 novembre, des vies plus jamais ordinaires est projeté en fin de de séance.
En 2021, Christian Delage a fait don à la BnF de ses archives audiovisuelles et d’une partie des dossiers de production des films qu’il a réalisés depuis les années 1980.
À l’occasion de la publication de l’instrument de recherche du fonds sur le portail BnF - Archives et Manuscrits, la Bibliothèque l’invite à évoquer son parcours et la manière dont ses deux carrières d’historien et de réalisateur s’entremêlent et se nourrissent l’une l’autre.
Au cours d’une conversation avec Guillaume Mazeau, également historien, maître de conférences à Paris I Panthéon-Sorbonne, Christian Delage montrera plusieurs extraits de ses films, fiction et documentaire.
Son premier film, La Cité des morts, est réalisé pendant qu’il écrit sa thèse sur « la vision nazie de l’histoire à travers le cinéma documentaire (1933-1945) ». Après avoir participé par des films à la création des Musées-mémoriaux de Caen et d’Izieu, il associe à son travail de réalisateur à celui de commissaire d’exposition (Mémorial de la Shoah, Museum of Jewish Heritage, Jeu de paume, Le Bal).
En 1990, alors qu’il rejoint l’Institut d’histoire du temps présent, il expérimente, avec Denis Peschanski et Henry Rousso, la présentation d’un film en lieu et place d’une communication dans le cadre d’un colloque (Les Voyages du Maréchal). Puis, avec Vincent Guigueno, il écrit le scénario de La Petite patrie, une fiction qu’il réalise en 1993, inspirée de l’histoire d’élèves de Polytechnique et de leur engagement dans la Résistance pendant la Seconde Guerre mondiale.
En 2006 et en 2013, il réalise deux films sur la préparation et la tenue du procès de Nuremberg (Nuremberg. Les Nazis face à leurs crimes ; De Hollywood à Nuremberg : John Ford, Samuel Fuller, George Stevens), sélectionnés dans des festivals à New York, pendant la période où il enseigne à la Cardozo Law School.
Cet échange sera suivi de la projection de son dernier film, 13 novembre, des vies plus jamais ordinaires (Zadig Productions/Histoire TV, 2022, 52 min).
En 2021, Christian Delage a fait don de ses archives audiovisuelles à la BnF. À cette occasion, il est invité à évoquer son parcours et la manière dont ses deux carrières d’historien et de réalisateur se nourrissent l’une l’autre. Son dernier film, 13 novembre, des vies plus jamais ordinaires est projeté en fin de de séance.
En 2021, Christian Delage a fait don à la BnF de ses archives audiovisuelles et d’une partie des dossiers de production des films qu’il a réalisés depuis les années 1980.
À l’occasion de la publication de l’instrument de recherche du fonds sur le portail BnF - Archives et Manuscrits, la Bibliothèque l’invite à évoquer son parcours et la manière dont ses deux carrières d’historien et de réalisateur s’entremêlent et se nourrissent l’une l’autre.
Au cours d’une conversation avec Guillaume Mazeau, également historien, maître de conférences à Paris I Panthéon-Sorbonne, Christian Delage montrera plusieurs extraits de ses films, fiction et documentaire.
Son premier film, La Cité des morts, est réalisé pendant qu’il écrit sa thèse sur « la vision nazie de l’histoire à travers le cinéma documentaire (1933-1945) ». Après avoir participé par des films à la création des Musées-mémoriaux de Caen et d’Izieu, il associe à son travail de réalisateur à celui de commissaire d’exposition (Mémorial de la Shoah, Museum of Jewish Heritage, Jeu de paume, Le Bal).
En 1990, alors qu’il rejoint l’Institut d’histoire du temps présent, il expérimente, avec Denis Peschanski et Henry Rousso, la présentation d’un film en lieu et place d’une communication dans le cadre d’un colloque (Les Voyages du Maréchal). Puis, avec Vincent Guigueno, il écrit le scénario de La Petite patrie, une fiction qu’il réalise en 1993, inspirée de l’histoire d’élèves de Polytechnique et de leur engagement dans la Résistance pendant la Seconde Guerre mondiale.
En 2006 et en 2013, il réalise deux films sur la préparation et la tenue du procès de Nuremberg (Nuremberg. Les Nazis face à leurs crimes ; De Hollywood à Nuremberg : John Ford, Samuel Fuller, George Stevens), sélectionnés dans des festivals à New York, pendant la période où il enseigne à la Cardozo Law School.
Cet échange sera suivi de la projection de son dernier film, 13 novembre, des vies plus jamais ordinaires (Zadig Productions/Histoire TV, 2022, 52 min).
En partenariat avec la Cinémathèque du documentaire.
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