Éloge de la traduction. Confucius ou la Science des princes
24 Mai. 2021 Durée : 1 h 13 min
Dans le cadre des « Rendez-vous des métiers du livre », la bibliothèque de l’Arsenal accueille l’historienne Sylvie Taussig, pour une séance consacrée à la première traduction de Confucius en français au XVIIe siècle. Ce texte, conservé dans les collections de la bibliothèque de l’Arsenal, constitue un symbole de la relation multiséculaire entre la France et la Chine.
Il revient à l’historienne Sylvie Taussig d’avoir redécouvert un symbole de la relation multiséculaire entre la France et la Chine : la première traduction de Confucius en français remontant à la fin du XVIIe siècle. Elle a su redonner à ce texte de l’humaniste François Bernier (1620-1688), conservé à la bibliothèque de l’Arsenal depuis le XVIIIe siècle, et réédité pour l’occasion sous le titre Confucius ou la Science des princes, sa dimension philosophique, culturelle et politique. Placé encore il y a peu sous les feux de l’actualité, ce texte illustre la permanence de la relation franco-chinoise, mais aussi une tentative de science politique alternative, une sorte d’anti-Machiavel, à l’époque du Grand Siècle.
Dans le cadre des « Rendez-vous des métiers du livre », la bibliothèque de l’Arsenal accueille l’historienne Sylvie Taussig, pour une séance consacrée à la première traduction de Confucius en français au XVIIe siècle. Ce texte, conservé dans les collections de la bibliothèque de l’Arsenal, constitue un symbole de la relation multiséculaire entre la France et la Chine.
Il revient à l’historienne Sylvie Taussig d’avoir redécouvert un symbole de la relation multiséculaire entre la France et la Chine : la première traduction de Confucius en français remontant à la fin du XVIIe siècle. Elle a su redonner à ce texte de l’humaniste François Bernier (1620-1688), conservé à la bibliothèque de l’Arsenal depuis le XVIIIe siècle, et réédité pour l’occasion sous le titre Confucius ou la Science des princes, sa dimension philosophique, culturelle et politique. Placé encore il y a peu sous les feux de l’actualité, ce texte illustre la permanence de la relation franco-chinoise, mais aussi une tentative de science politique alternative, une sorte d’anti-Machiavel, à l’époque du Grand Siècle.