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Les mécanos de la Générale : Einstein, 100 ans de relativité générale /
Novembre 1915. Einstein publie sa relativité générale. La révolution qu’elle implique se fera attendre un demi-siècle. Basée sur une mathématique complexe, obscure pour beaucoup, elle prend la place de la théorie de la gravitation de Newton dont elle remet en cause la plupart des concepts. Intégrant la relativité restreinte, et donc la lumière, elle rend enfin compte du mouvement de Mercure et prédit la déviation gravitationnelle de la lumière observée en 1919. Longtemps ce sera une théorie mal aimée, boudée, peu utile. La cosmologie relativiste qu’Einstein met en place dès 1917 permettra de la mieux comprendre, de la « travailler ». Mais il faudra attendre les années 60-70 pour qu’elle trouve, bien au-delà de la banlieue solaire, son champ d’application, l’univers, l’astrophysique relativiste avec ses objets étranges, quasars, pulsars étoiles à neutron, et les trous noirs… Mais ce n’est qu’une halte vers une théorie unitaire des interactions physiques.
Membre de l’Académie royale des sciences de Belgique, Dominique Lambert retrace l’histoire des modèles cosmologiques de Georges Lemaître. Il montre comment toute l’œuvre scientifique du « père du Big Bang » prend sa source et trouve son unité dans son modèle d’univers et comment ces considérations cosmologiques ont permis de mieux comprendre la relativité générale.
Novembre 1915. Einstein publie sa relativité générale. La révolution qu’elle implique se fera attendre un demi-siècle. Basée sur une mathématique complexe, obscure pour beaucoup, elle prend la place de la théorie de la gravitation de Newton dont elle remet en cause la plupart des concepts. Intégrant la relativité restreinte, et donc la lumière, elle rend enfin compte du mouvement de Mercure et prédit la déviation gravitationnelle de la lumière observée en 1919. Longtemps ce sera une théorie mal aimée, boudée, peu utile. La cosmologie relativiste qu’Einstein met en place dès 1917 permettra de la mieux comprendre, de la « travailler ». Mais il faudra attendre les années 60-70 pour qu’elle trouve, bien au-delà de la banlieue solaire, son champ d’application, l’univers, l’astrophysique relativiste avec ses objets étranges, quasars, pulsars étoiles à neutron, et les trous noirs… Mais ce n’est qu’une halte vers une théorie unitaire des interactions physiques.
Membre de l’Académie royale des sciences de Belgique, Dominique Lambert retrace l’histoire des modèles cosmologiques de Georges Lemaître. Il montre comment toute l’œuvre scientifique du « père du Big Bang » prend sa source et trouve son unité dans son modèle d’univers et comment ces considérations cosmologiques ont permis de mieux comprendre la relativité générale.