Sur le thème du corps décliné « dans tous ses états », la première édition du cycle de conférences dédié à la philosophie du quotidien se poursuit au second semestre 2021. Cette séance invite Thierry Hoquet à parler de la sexualité.
La philosophie a-t-elle quelque chose à dire de la sexualité ? Que peut-elle avoir à faire là où se joue ce qu’il y a pour nous de plus intime ? Si toute la philosophie tient dans des distinctions conceptuelles, la sexualité est ici d’abord distinguée de ses doubles : sa version obscène — le coït — et sa version édulcorée — l’amitié. Puis, partant du principe qu’il n’est pas de bonne philosophie qui ne revienne à Platon et Aristote, l’un pointant vers le ciel et l’autre pointant vers la terre, deux approches philosophiques de la sexualité sont suivies : celle de l’érotique et celle de l’histoire naturelle.
Thierry Hoquet est professeur des universités, directeur du département de philosophie de l’université Paris Nanterre.
Thierry Hoquet
Pprofesseur des universités, directeur du département de philosophie de l’université Paris Nanterre
Sur le thème du corps décliné « dans tous ses états », la première édition du cycle de conférences dédié à la philosophie du quotidien se poursuit au second semestre 2021. Cette séance invite Thierry Hoquet à parler de la sexualité.
La philosophie a-t-elle quelque chose à dire de la sexualité ? Que peut-elle avoir à faire là où se joue ce qu’il y a pour nous de plus intime ? Si toute la philosophie tient dans des distinctions conceptuelles, la sexualité est ici d’abord distinguée de ses doubles : sa version obscène — le coït — et sa version édulcorée — l’amitié. Puis, partant du principe qu’il n’est pas de bonne philosophie qui ne revienne à Platon et Aristote, l’un pointant vers le ciel et l’autre pointant vers la terre, deux approches philosophiques de la sexualité sont suivies : celle de l’érotique et celle de l’histoire naturelle.
Thierry Hoquet est professeur des universités, directeur du département de philosophie de l’université Paris Nanterre.