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Littérature /
La Bibliothèque parlante – Festival BnF
Lecture de « Lettrines » de Julien Gracq par Constance Dollé et Emmanuel Noblet
Lecture de Lettrines de Julien Gracq par Constance Dollé et Emmanuel NobletBnF
Lecture de Lettrines de Julien Gracq par Constance Dollé et Emmanuel Noblet
5 juin. 2021 Durée : 46 min
Pour la cinquième année consécutive, la BnF invite le public, le temps d’un week-end, à écouter les mille et une voix de la Bibliothèque. Lectures, performances et spectacles habiteront les espaces du site François-Mitterrand, inspirés cette année par l’exposition phare de la saison, Henri Cartier-Bresson. Le Grand Jeu.
André Breton a été une figure essentielle pour Henri Cartier-Bresson et Julien Gracq qui ont tous deux participé aux réunions des surréalistes dans les cafés de la place Blanche. « C’est au surréalisme que je dois allégeance, car il m’a appris à laisser l’objectif photographique fouiller dans les gravats de l’inconscient et du hasard », dit le photographe. On aime l’idée qu’un même hasard, guidé par le flux des idées journalières, ait accompagné Julien Gracq dans la rédaction de ses Lettrines, « un ensemble très libre, une mosaïque de notes de lecture, de réflexions, de souvenirs ». Les comédiens Constance Dollé et Emmanuel Noblet prêtent leurs voix à quelques-uns de ces fragments dans un échange libre et inspiré, au plus proche du ton du texte.
Pour la cinquième année consécutive, la BnF invite le public, le temps d’un week-end, à écouter les mille et une voix de la Bibliothèque. Lectures, performances et spectacles habiteront les espaces du site François-Mitterrand, inspirés cette année par l’exposition phare de la saison, Henri Cartier-Bresson. Le Grand Jeu.
André Breton a été une figure essentielle pour Henri Cartier-Bresson et Julien Gracq qui ont tous deux participé aux réunions des surréalistes dans les cafés de la place Blanche. « C’est au surréalisme que je dois allégeance, car il m’a appris à laisser l’objectif photographique fouiller dans les gravats de l’inconscient et du hasard », dit le photographe. On aime l’idée qu’un même hasard, guidé par le flux des idées journalières, ait accompagné Julien Gracq dans la rédaction de ses Lettrines, « un ensemble très libre, une mosaïque de notes de lecture, de réflexions, de souvenirs ». Les comédiens Constance Dollé et Emmanuel Noblet prêtent leurs voix à quelques-uns de ces fragments dans un échange libre et inspiré, au plus proche du ton du texte.