Comment favoriser une édition jeunesse plus respectueuse des équilibres sociétaux et environnementaux ? Cette problématique commune aux acteurs de la chaîne du livre est au cœur des 3es Assises de la littérature jeunesse.
Tous les deux ans depuis 2017, la BnF accueille les Assises de la littérature jeunesse, organisées en partenariat avec le groupe Jeunesse du Syndicat national de l’édition (SNE) et avec le soutien de la Société française des intérêts des auteurs de l’écrit (Sofia). Cette année, auteurs, éditeurs, diffuseurs, distributeurs, libraires, mais aussi bibliothécaires, organisateurs de salons ou représentants d’associations sont invités à examiner la façon dont le secteur de l’édition jeunesse s’empare des enjeux sociaux et environnementaux.
L’occasion de revenir sur les solidarités qui se sont tissées dans la chaîne du livre en réaction à la crise sanitaire, d’aborder la question environnementale dans les domaines de la production et de la distribution, ou d’interroger la notion de « cancel culture », parfois convoquée dans les débats qui agitent la création éditoriale jeunesse en France.
Comment favoriser une édition jeunesse plus respectueuse des équilibres sociétaux et environnementaux ? Cette problématique commune aux acteurs de la chaîne du livre est au cœur des 3es Assises de la littérature jeunesse.
Tous les deux ans depuis 2017, la BnF accueille les Assises de la littérature jeunesse, organisées en partenariat avec le groupe Jeunesse du Syndicat national de l’édition (SNE) et avec le soutien de la Société française des intérêts des auteurs de l’écrit (Sofia). Cette année, auteurs, éditeurs, diffuseurs, distributeurs, libraires, mais aussi bibliothécaires, organisateurs de salons ou représentants d’associations sont invités à examiner la façon dont le secteur de l’édition jeunesse s’empare des enjeux sociaux et environnementaux.
L’occasion de revenir sur les solidarités qui se sont tissées dans la chaîne du livre en réaction à la crise sanitaire, d’aborder la question environnementale dans les domaines de la production et de la distribution, ou d’interroger la notion de « cancel culture », parfois convoquée dans les débats qui agitent la création éditoriale jeunesse en France.