la BnF organise une rencontre professionnelle autour du métier de photojournalisme. Ce métier apparaît aujourd’hui comme un secteur fragilisé qui doit chercher de nouveaux modèles.
Être photojournaliste implique de se réinventer régulièrement en fonction des modes de production et de diffusion des images dans un contexte sans cesse remodelé par la crise de la presse, une défiance grandissante vis-à-vis des médias ou l’émergence de nouvelles technologies telle que l’IA. Les auteurs dans le champ de la photographie de presse aujourd’hui trouvent de nouveaux modèles économiques. Les commandes de presse se raréfiant, ils postulent désormais à des bourses documentaires, des commandes publiques ou à des prix, se rapprochent de nouveaux commanditaires, telles que les ONG, qui leur ouvrent de nouveaux possibles afin de mener des reportages au long cours. De même, ils sollicitent des centres photographiques, des musées, des galeries afin d’octroyer de nouvelles visibilités à leurs travaux.
Quelles implications politiques, éthiques, esthétiques ces évolutions de la profession occasionnent-elles du côté des producteurs d’images et de leurs diffuseurs ? Cette journée mettra en en présence des photographes-auteurs, des directeurs de services photographiques de presse, des directeur d’institutions ou de festivals diffusant de la photographie afin de leur permettre de confronter leurs expériences et points de vue sur ce secteur fragilisé qui cherche de nouveaux modèles.
Table ronde animée par Héloïse Conésa et Emmanuelle Hascoët, commissaires de l’exposition La France sous leurs yeux.
En lien avec l’exposition La France sous leurs yeux. 200 regards de photographes sur les années 2020,
la BnF organise une rencontre professionnelle autour du métier de photojournalisme. Ce métier apparaît aujourd’hui comme un secteur fragilisé qui doit chercher de nouveaux modèles.
Être photojournaliste implique de se réinventer régulièrement en fonction des modes de production et de diffusion des images dans un contexte sans cesse remodelé par la crise de la presse, une défiance grandissante vis-à-vis des médias ou l’émergence de nouvelles technologies telle que l’IA. Les auteurs dans le champ de la photographie de presse aujourd’hui trouvent de nouveaux modèles économiques. Les commandes de presse se raréfiant, ils postulent désormais à des bourses documentaires, des commandes publiques ou à des prix, se rapprochent de nouveaux commanditaires, telles que les ONG, qui leur ouvrent de nouveaux possibles afin de mener des reportages au long cours. De même, ils sollicitent des centres photographiques, des musées, des galeries afin d’octroyer de nouvelles visibilités à leurs travaux.
Quelles implications politiques, éthiques, esthétiques ces évolutions de la profession occasionnent-elles du côté des producteurs d’images et de leurs diffuseurs ? Cette journée mettra en en présence des photographes-auteurs, des directeurs de services photographiques de presse, des directeur d’institutions ou de festivals diffusant de la photographie afin de leur permettre de confronter leurs expériences et points de vue sur ce secteur fragilisé qui cherche de nouveaux modèles.
Table ronde animée par Héloïse Conésa et Emmanuelle Hascoët, commissaires de l’exposition La France sous leurs yeux.
Cette journée a reçu la labellisation des États généraux de l’information