Lettre du CCFr nº 40 (février 2022)
Actualités de la Base patrimoine
Ces derniers mois, le versement de plusieurs fonds patrimoniaux aussi conséquents qu’originaux, issus de régions et d’établissements très variés, a permis l’enrichissement de l’offre bibliographique dans le CCFr.
La Bibliothèque départementale de La Réunion, à Saint-Denis, signale deux fonds emblématiques :
- le fonds ancien du Muséum d’Histoire naturelle, premier établissement de l’île créé en 1854, issu d’une partie de ses collections,
- le fonds Leconte de Lisle, qui met en valeur la vie et l’œuvre d’un des plus célèbres auteurs réunionnais. Il s’agit d’un ensemble de documents imprimés, sonores, manuscrits et iconographiques avec également des livres d’art de 1898 à nos jours, valorisant tant ses traductions que ses recueils de poèmes. Chef de file de l’école poétique des Parnassiens, Charles-Marie-René Leconte de Lisle (1818-1894) a voué sa vie à composer des vers somptueusement millimétrés, empreints d’un esthétisme plus que remarquable .
L’album photographique numérisé de Désiré Charnay (1828-1915) : vues prises lors d’une expédition organisée en 1863 à Madagascar. En transit à La Réunion, cet explorateur, archéologue et photographe français effectue une série de 13 portraits d’hommes, femmes ou enfants partiellement ou totalement dénudés devant une case avec un bananier. « Des Malgaches, des Noirs du Mozambique, des métis “Arabes” Indiens, des Chinois, un Anamite, des Macouas du Mozambique, des Malbars, un Noir créole, une Noire créole, une Indienne et un enfant Indien, des Chinois enchaînés ».
- Les collections de la Bibliothèque Martial Lapeyre de la Fondation Napoléon
- La bibliothèque historique ancienne des Archives départementales de la Drôme
- Les fonds anciens et spécialisés des bibliothèques municipales de Barcelonnette, Chambon-sur-Lignon, Langres, Pau
- La collection Vergnet-Ruiz à la Bibliothèque et Archives du château de Chantilly
- La Réserve précieuse ancienne et moderne de la médiathèque Louis Aragon au Mans
Des mises à jour significatives ont été effectuées pour les notices bibliographiques de la bibliothèque municipale classée de Lyon, et celles de la bibliothèque de l’agglomération du pays de Saint-Omer.
Le fonds des incunables de la bibliothèque municipale classée de Lyon.
Il concerne plus de 1200 pièces datées de 1453 à 1499 abordant plusieurs thèmes : religion, philosophie, linguistique, littérature, histoire, voyages, géographie, astronomie, calendrier ou droit. À noter : la collection comprend plusieurs impressions utilisant les premiers caractères romains d’imprimeurs tels que Konrad Sweynheym, Nicolas Jenson ainsi que ceux italiques ou grecs d’Aldo Manuzio, dit Alde (le jeune).
Exposition : « Impressions premières. La page en révolutions de Gutenberg à 1530 »
Les fonds prestigieux et patrimoniaux de la bibliothèque de l’agglomération du pays de Saint-Omer, avec plus de 36 000 notices bibliographiques, ont pu bénéficier d’une mise à jour globale.
Le fonds Esperanto-Deligny rejoint cette belle représentation audomaroise sur le CCFr. Celui-ci est constitué, dans les années 30, par Ernest Deligny, espérantiste et bibliothécaire de Saint-Omer. Il contient plus de 2 000 notices de livres et d’études d’environ 30 projets de langues internationales avec par ailleurs, brochures, journaux, archives, correspondances d’espérantistes, partitions, affiches, tracts, plaques photographiques, cartes, timbres, drapeau… Langue universelle inventée en 1887 par un médecin polonais, Louis-Lazare Zamenhof, l’espéranto est caractérisée par sa logique agglutinante et sa parfaite régularité. Se présentant comme neutre et humaniste, elle se propose de résoudre les problèmes d’intercompréhension en devenant la langue seconde de tous les hommes
Parus en 1906, soit un an après le premier congrès universel d’espéranto organisé à Boulogne-sur-Mer, ces deux cahiers associent de grandes images à des planches de vocabulaire, servant de support pédagogique à l’enseignement de l’espéranto.
La langue internationale peut-elle être le latin ? par L. de Beaufront, 1905. Brochure de 79 pages, tiré à part de la revue « L’espérantiste » avec un argumentaire destiné à contrer le discours des défenseurs du latin comme langue universelle.
Almanach de Cabinet pour l’an 1807, du fonds patrimonial numérisé. Il donne aussi les dates des principales foires du département pour celui de 1807, qui compte encore les départements annexés par la France lors de la Révolution et du Premier Empire (1792 - 1815) : Deux-Nèthes, Dyle, Escaut, Forêts, Jemmapes, Lys, Meuse-Inférieure, Ourthe, Sambre-et-Meuse.
Les travaux de restitution du recensement général en voie d’achèvement.
Depuis 1987, il était mené sous l’égide du département de la Musique de la Bibliothèque nationale de France et le Répertoire international des sources musicales (RISM) avec le soutien du ministère de la Culture. Résultat : 39 catalogues imprimés publiés couvrant 20 régions françaises.
Ils localisent et décrivent précisément les partitions imprimées et manuscrites, mais aussi les manuels d’enseignement et traités musicaux figurant dans les collections d’établissements très divers : bibliothèques municipales et conservatoires mais aussi bibliothèques cultuelles, archives départementales et municipales, bibliothèques de sociétés savantes ou même bibliothèques militaires.
Depuis 2009, une rétroconversion via l’interface de consultation Sources musicales du CCFr les rend plus accessibles.
Deux volumes imprimés du Catalogue des fonds musicaux anciens conservés en Pays-de-La-Loire (tome 1, Angers et tome 2, Mayenne et Sarthe) viennent d’être chargés dans les Sources musicales du CCFr (2855 notices venant de 15 établissements). À suivre : le troisième volume pour Nantes avec sa version imprimée et sa rétroconversion ainsi que le volume consacré au Limousin pour clôturer le projet.
Le CCFr a rencontré…
Quatre bibliothécaires de la médiathèque de Bayonne fortement impliquées dans la valorisation des collections de leur établissement : Marie-Andrée Ouret, chargée de mission Projet Bilketa, Emilie Gangnat, responsable du patrimoine numérisé, Sylvie Martin-Guerric, responsable du pôle Patrimoine et fonds local, et Magali Capoul, directrice par intérim.
L’histoire d’une prolifique coopération a pu être retracée : celle issue de Bilketa, portail des fonds documentaires basques, et celle construite année après année avec la BnF à travers Gallica et le CCFr. Les échanges se sont poursuivis autour des différents enjeux du signalement du patrimoine écrit.
Bilketa : la coopération dans tous ses états
L’aventure Bilketa, terme qui signifie « cueillette » en langue basque, est lancée en 2011 par la ville de Bayonne, avec à l’origine, l’aide de financements extérieurs (contrat territorial Pays Basque, Drac, Région Aquitaine et Département des Pyrénées-Atlantiques) relayés aujourd’hui par la Communauté d’Agglomération Pays basque. Il s’agissait de piloter un programme complètement fédérateur autour de la thématique basque au sens large, et de mettre en place un portail d’entrée vers les fonds concernés en France, livres, manuscrits, archives, toute iconographie, documents sonores et audiovisuels et presse.
Objectif : faire connaitre l’existant et élaborer une stratégie commune répondant à la volonté de sauvegarde et de diffusion du patrimoine local.
Grâce à une convention de Pôle associé documentaire avec la BnF, des travaux de catalogage pour la médiathèque et le musée basque se poursuivent jusqu’en 2013. Des apports en numérisations enrichirent également Bilketa qui bénéficie d’une interopérabilité avec Gallica pour une complétude de certaines collections, avec la collaboration du département Littérature et art ( BnF) et son Fonds Z basque. Citons le journal hebdomadaire basque « Eskualduna » de 1887 à 1944.
Plus de 27 bibliothèques, de nature très diverses (médiathèques, bibliothèques universitaires, centres de documentation, bibliothèques associatives ou cultuelles…), liées par convention, composent actuellement le réseau Bilketa et alimentent un catalogue collectif. Sont partagés pratiques et outils professionnels avec la mise en place d’actions concertées de valorisation des fonds. Les sites servent à la fois la lecture publique, comme par exemple la médiathèque de Biarritz avec de multiples références en section jeunesse, ou proposent des recherches assez pointues comme au centre de documentation du Laboratoire IKER dépendant du CNRS.
La mise en commun de toutes ses ressources basques s’est construite de manière progressive (inauguration en avril 2015). Le portail se renforce aujourd’hui en permanence sur différents niveaux, structurels, techniques, territoriaux, voire internationaux. Des services supplémentaires sont d’ailleurs prévus en 2022 en matière de mise en ligne numérisée grâce à une nouvelle version du site. Bilketa, de cette façon, joue un rôle de repérage et d’élément moteur extrêmement structurant et stimulant pour le patrimoine écrit basque mais aussi bayonnais.
Ainsi, un élan et savoir-faire professionnel ont pu se constituer durablement.
Comment se sont déroulés les chantiers de signalement pour le patrimoine écrit à Bayonne ?
Ils se sont constitués par étapes très cohérentes.
Les premiers versements bibliographiques en Base patrimoine, dès 2013, exigèrent plusieurs séries de corrections et tentatives pour améliorer la qualité des notices sujettes à de nombreuses anomalies. Le traitement du fonds patrimonial de la médiathèque, couplé à celui du fonds Lafitte fut ensuite soutenu par un financement dans le cadre du Plan d’Action Patrimoine Écrit (PAPE) avec l’ajout iconographique de cartes et de plans. Le tout, avec les notices bibliographiques du fonds local, a été remis à jour en 2021 via un export global, clôturant les opérations. Les 23 000 notices du fonds basque du Musée ont pu, in fine, s’y ajouter également sans aucune difficulté.
Coté Archives et Manuscrits, pour la publication des inventaires dans le CGM, l’équipe fait des choix stratégiques et techniques au fil des années. Elle n’hésite pas à se réadapter en permanence, accompagnée sur ce point par les coordinatrices du CCFr. Des solutions pratiques sont trouvées lorsqu’il s’agit d’adopter une organisation d’ensemble complètement différente suite à des classements originels inadéquats. Le conseil et l’appui extérieurs s’avèrent précieux. Et surtout les changements d’outils !
L’utilisation du langage EAD et l’arrivée de TapIR, sur lequel les bibliothécaires se forment très rapidement, après avoir longuement œuvré sur Oxygen XML, permettent d’accélérer les tâches avec efficacité et de façon directe. La constitution d’un socle documentaire, via le système d’emboitage que permet l’EAD, a résolu certains problèmes structurels qui paraissaient insolubles. La prise en main de TapIR étant aisée, proche d’un système intégré de gestion de bibliothèque, les publications d’inventaires s’enchainent malgré des petits bugs d’utilisation inévitables. Elles se poursuivent grâce à l’aide financière du PAPE pour ce qui concerne les fonds hors sphère basque. La numérisation de documents divers sur le site de la médiathèque peut alors s’enclencher, enrichissant au passage Bilketa.
La boucle est alors bouclée avec l’expérience, la persévérance et l’implication des équipes in situ.
Quels ont été les éléments essentiels pour obtenir ce résultat et ce solide tissu partenarial qui caractérise le pôle patrimoine de la médiathèque de Bayonne ?
L’échafaudage bayonnais, sur cette thématique, s’est construit sur dix années. Magali Capoul, directrice par intérim, insiste : « la connaissance des fonds en interne reste primordiale. À aucun moment ne furent négligés, en parallèle de toutes ces actions, la remise en ordre des collections, leur traitement physique, le souci de la conservation dans d’optimales conditions ou plus généralement une réflexion sur le classement. Ainsi, chaque manuscrit dont l’inventaire est édité, sera au préalable reconditionné matériellement et sont reprises, si nécessaire, toutes cotations anciennes. »
Restent certains événements déclencheurs : un changement bénéfique de prestataire, l’évolution des outils, l’apparition de systèmes plus adaptés suivis de méthodes gagnantes comme savoir mener plusieurs chantiers en parallèle, ne jamais travailler en vase clos et cultiver la patience !
- Eskual herria : gravures sur bois par Ed. Baugé, 1920
- Bords de la Nive, aquarelle de F. Corrèges, Ferdinand (1844-1904), 1892
- Plan de la ville, des châteaux et de la citadelle de Bayonne / [Berard]. -, 1777. - 1 carte : aquarelle et encre sur papier ; 79,5 x 94,5 cm.
- Recueil d’aquarelles de costumes basques, 1823 : « Bascaise en action de relever la fourche»
Archives et Manuscrits (CGM)
La consultation de l’inventaire du fonds Lemire-Arbelet, du nom de sa secrétaire donatrice, reflète bien l’itinéraire audacieux de l’abbé Jule Lemire (1853-1928), député et maire d’Hazebrouck. Conservé par les archives municipales et publié récemment sur le Catalogue général des Manuscrits, il se compose de nombreuses sources écrites représentant tous les aspects de sa vie. Instigateur des jardins ouvriers en France, pourfendeur du travail de nuit des enfants, l’abbé s’est aussi battu à son époque, pour que les travailleuses venant d’accoucher bénéficient d’une période de repos.
De nombreux documents sur sa vie professionnelle et personnelle complètent la collection de cet homme d’église et figure politique avant-gardiste dans sa maison-musée, affiliée au réseau des maisons d’écrivains et patrimoines littéraires Hauts-de-France. Son bureau-bibliothèque parisien y a été reconstitué de manière authentique, pièce dans laquelle certains jours, ce hazebrouckois, qui a durablement marqué sa ville par son engagement social et progressiste, écrivait plus de 100 lettres. On y trouve également une chapelle aménagée, de son vivant, avec autorisation spéciale, à l’ombre des arbres du jardin public.
L’inventaire du fonds Valentine Hugo (née Valentine Gross, en 1887), artiste-peintre, illustratrice et costumière, est désormais consultable sur le CGM. Les documents le composant, en majorité iconographiques, sont réunis à la bibliothèque municipale de Boulogne-sur-Mer : manuscrits, maquettes, portraits, dessins, livres illustrés, esquisses, pastels… Un ensemble de photographies et de gravures du peintre, Jean Hugo son époux, arrière-petit-fils de Victor Hugo le complète. Celle qui vécut longtemps à l’ombre de surréalistes célèbres, Paul Eluard ou André Breton et qui fut membre du Groupe des Six, illustra nombre d’œuvres d’écrivains de son temps tels René Crevel, René Char ou Lautréamont. Elle signe des chorégraphies, réalise des costumes pour les ballets de Jean Cocteau, expose avec les plus renommés comme Picasso. Elle meurt en 1968, seule et très désargentée, le jour de son anniversaire, dans son appartement parisien, place Victor Hugo.
Les archives de la collection du critique musical Hugues Panassié (1912-1974), acquises en 1979, sont conservées à la médiathèque de Villefranche-de-Rouergue. La Collection Hugues Panassié, décrite sur le Répertoire de Fonds comprend également une masse importante d’enregistrements sonores (disques vinyles, microsillons, disques 78 tours à gravure latérale, 33 tours, CD, DVD, bandes magnétiques), elle est régulièrement alimentée par des achats et dons et constitue une des premières discothèques de référence documentaire sur le jazz européen.
Les archives de Theodore de Felice, à la médiathèque intercommunale du Chambon-sur-Lignon, proviennent de l’écrivain, juriste et homme politique (1904-2005) aux forts engagements locaux. Ce pasteur protestant aura consacré 35 ans de sa vie à étudier le dialecte occitan parlé au nord-est de la Haute-Loire. On y trouvera la version numérique des tapuscrits originaux de sa thèse de doctorat sur le sujet et celle de plusieurs numéros du Journal Le Lignon (1919-1921) complété par une liste de ses sermons. 4 000 ouvrages constituent par ailleurs le fonds Theodore de Felice. Il s’agit de sa bibliothèque personnelle, celle-là même qui recouvrait les murs de sa maison décorés du mot « paix » traduit dans toutes les langues. Les notices bibliographiques correspondantes ont été chargées dans la Base patrimoine l’automne dernier.
TapIR… et vous
2021 : un réseau d’utilisateurs à l’œuvre dans TapIR et des publications d’inventaires en continu sur le Catalogue général des Manuscrits (CGM)
66 981 nouveaux composants ont été publiés en 2021 (190 993 depuis la mise en service de TapIR et 332 531 depuis la conversion du CGM) !
Ceci pour 783 publications et mises à jour d’inventaires originaux du CGM et de ses suppléments mais aussi 153 nouveaux inventaires publiés de 65 établissements différents.
Résultats des diverses conversions effectuées par la BnF, du travail des catalogueuses itinérantes dans le cadre de plans régionaux pour des établissements de tous types et de celui de nombreux professionnels de bibliothèques municipales classées, bibliothèques spécialisées et services d’archives.
Bilan : 179 utilisateurs issus de 74 établissements connectés au cours de l’année.
Côté formation, il est à noter que, depuis l’ouverture de l’outil de catalogage TapIR, 176 professionnels ont été formés grâce à des ateliers organisés en présentiel à la BnF et en région. Ces ateliers ont été animés par l’équipe du CCFr et pris en charge par des relais d’institutions et de bibliothécaires ou des structures régionales du livre.
Du côté des partenaires du CCFr
- « Le Plan de signalement des manuscrits et fonds d’archives privées en Occitanie » d’Élodie Mitaine et Maguelone Nouvel-Kirschleger dans la revue semestrielle Patrimoines du Sud n°14-2021, publiée par la Région Occitanie/Pyrénées-Méditerranée.
- « Le carnet Patrimoine écrit en Centre-Val de Loire », support numérique de la mission patrimoine régional, accueillie par le Centre d’études supérieures de la Renaissance à Tours, en collaboration avec la DRAC Centre- Val de Loire. Les établissements de la région y présentent leurs fonds numérisés avec, par exemple, ceux des bibliothèques du réseau d’agglomération de Blois, Agglopolys.
- Le compte instagram de Mobilis, intitulé « grands.papiers », valorise le patrimoine écrit conservé en région Pays de la Loire. Abonnez-vous !
Question/réponse sur le CCFr
Question : Que fait le requêteur du CCFr et quelle est sa différence avec le widget ?
Réponse : Un requêteur est créé pour permettre l’accès à un formulaire de recherche pré-rempli ou pour lancer directement une recherche sur le CCFr. Insérée dans toute page internet, cette URL permet d’obtenir facilement une liste de résultats et de bénéficier ensuite de toutes les fonctionnalités du portail du CCFr.
Par exemple, il est possible de visualiser sous forme cartographique les établissements de la région Bourgogne-Franche-Comté participant à la Base patrimoine.
Un widget permet d’insérer dans toute page web un encart de recherche rapide. Personnalisable, il peut également être adapté à toute charte graphique (couleurs, polices de caractères, etc.).
Par exemple, le portail de la médiathèque de Bayonne utilise celui-ci sur son site Patrimoine pour interroger ses inventaires publiés dans le Catalogue général des Manuscrits (CGM).
Des guides d’utilisation et des modèles pour ces deux services sont proposés en ligne sur le site bnf.fr :
Réutilisation et accès aux données du CCFr.
Pour être au plus près des besoins de ses utilisateurs, le CCFr déploie et diversifie son offre de formation et de présentation de ses outils spécifiques. Ainsi, des vidéos d’information générale et des vidéos de formation ont été réalisées.
Localiser des documents grâce au CCFr (vidéo de présentation)
Le CCFr – Vidéos de présentation