Lettre du CCFr nº 41 (mai 2022)
Actualités de la Base patrimoine
La Base patrimoine compte désormais plus de 9,2 millions de notices bibliographiques !
Des entrées prépondérantes !
En provenance de bibliothèques municipales de :
- Arras, avec le fonds ancien et le fonds d’histoire locale,
- Orléans, pour des fonds particuliers et iconographiques avec affiches, cartes et plans, cartes postales, gravures et bibliophilie contemporaine,
- Mamers, Saint-Jean d’Angély, Château-Gontier et Les Sables d’Olonne pour des fonds patrimoniaux et locaux divers,
et des archives départementales de :
- la Charente-Maritime avec des ajouts importants pour leur bibliothèque historique et administrative et,
- la Loire-Atlantique avec le fonds Potiron.
Des collections inédites !
- à la médiathèque Herbès à Manosque avec la collection François Richaudeau. Cette bibliothèque personnelle, étonnante par sa composition, retrace l’histoire du livre imprimé du XVe au XVIe siècle. Tour à tour imprimeur, éditeur, créateur de revues, inventeur de la lecture rapide, François Richaudeau (1920–2012), a été un infatigable animateur d’équipes pédagogiques. En plusieurs décennies, ce pionnier, avant tout humaniste, tels les imprimeurs de la Renaissance, a exploré tous les aspects de l’univers du livre : lecture, écriture, lisibilité, ponctuation, mise en page, graphisme et typographie.
- au Centre de la Mémoire de la médiathèque Albert Camus d’Issoudun avec le fonds Léon Werth (1878-1955), écrivain et journaliste, où sont valorisés différents fonds d’archives de la ville.
- pour les bibliothèques municipales de Bourges et de Saint-Chamond avec divers fonds originaux de livres d’art et d’artistes .
- à la bibliothèque de la Cour des Comptes avec le fonds ancien.
- à la Médiathèque protestante de Strasbourg et ses collections.
Des mises à jour d’exception !
- à la bibliothèque du Centre Sèvres (Facultés jésuites de Paris), pour son fonds général. Héritière de la bibliothèque de la faculté de théologie jésuite de Lyon-Fourvière et de la bibliothèque des Fontaines à Chantilly, son prestigieux fonds Jesuitica des Fontaines, intégré en 1999, retrace l’histoire et la spiritualité de la Compagnie de Jésus.
- à la médiathèque Gabriel Tarde de l’École nationale de l’administration pénitentiaire à Agen, pour son fonds historique.
- aux médiathèques de Fréjus pour les fonds patrimoniaux et à celle d’Hyères pour son fonds numérisé.
Avec, une description géographique, historique, chronologique, politique et physique de l’Empire de la Chine et de la Tartarie chinoise par l’historien jésuite Jean-Baptiste du Halde, publiée en 1735. Remarquablement illustrée de gravures et de cartes, elle représente l’une des publications les plus importantes du XVIIIe siècle en Europe, inaugurant le modèle encyclopédique et les réflexions philosophiques des Lumières.
La construction de la tour de Babel tirée d’une Bible lyonnaise publiée en 1548 par l’imprimeur Jacopo Guinti conservée dans le fonds général de cet établissement.
Manuscrits et archives (CGM)
Le fonds Gaston Ferdière (1907-1990), psychiatre, chef du service de l’asile de Rodez de 1943 à 1946 et proche des surréalistes, à la bibliothèque Dominique Bozo du LAM, Lille-Art-Moderne.
Le fonds photographique Georges Maroniez
Ce fonds est conservé à la médiathèque municipale de Cambrai, composé de plus de 2 000 clichés. Georges Maroniez (1865-1933), peintre, photographe, rattaché au mouvement pictorialiste, utilisa dès 1908 l’autochrome. Il fut l’inventeur de l’appareil-photo « Le Sphinx » datant de 1891 et commercialisé jusqu’en 1910. Douze vues sans manipulation de plaques pendant 30 secondes étaient réalisables. Le Sphinx ne subsiste qu’en deux exemplaires connus dans le monde, dont un conservé au Labo avec une lanterne de projection.
Le fonds Jean-Antoine-François Léré (1761-1837)
35 boites d’archives, y compris un herbier numérisé, avec notes et dessins aquarellés, à la bibliothèque Saint-Corneille de Compiègne. Ses croquis, élévations, plans ont été réalisés à la manière d’un impressionniste, sur le vif, tout au long de ses promenades et observations dans sa cité.
Le fonds Gaston Doumergue (1863-1937) homme d’état et président de la République (1924-1931), à la bibliothèque municipale d’Aigues-Vives et les archives de la famille Chénier (1770-1890) : correspondance, documents administratifs et militaires, travaux personnels, poèmes, à la médiathèque de Carcassonne.
Le fonds d’archives sur le flottage du bois de chauffage vers Paris via l’Yonne et les petites rivières affluentes, à la médiathèque de Clamecy.
Le CCFr a rencontré…
Bénédicte Obitz-Lumbroso, professeure agrégée et chercheuse associée à l’Institut des Textes et Manuscrits modernes (CNRS) dans l’équipe « Écritures des Lumières » et au laboratoire 3L.AM (Langues, Littératures, Linguistique des Universités d’Angers et du Mans).
Cette docteure en langue et littérature française utilise régulièrement pour sa fonction d’auteure, le Catalogue collectif de France et ses différentes bases.
Grâce au CGM (Catalogue général des manuscrits), elle a pu réaliser une belle découverte archivistique : les fonds d’archives et de manuscrits inédits d’un homme de lettres du XVIIIe siècle, Robert-Martin Lesuire (1736-1815), conservés conjointement à la bibliothèque municipale de Laval et aux archives départementales de la Mayenne.
De quelle façon le CCFr a-t-il contribué à vous lancer depuis 10 ans dans l’exploration de l’œuvre de Robert-Martin Lesuire ?
Mes travaux portent sur le genre épistolaire, les pratiques et l’écriture de la lettre avec une thèse et plusieurs articles consacrés à la correspondance de Beaumarchais. En furetant sur ces thèmes dans le CGM, je suis tombée sur un titre accrocheur tiré d’inventaires de manuscrits, via les différents niveaux présentés : « Robert ou Confessions d’un homme de lettres pour servir à l’étude de la nature et de la société » conservé à la bibliothèque municipale de Laval. Une fois sur place, j’ai alors découvert un fonds formidable, puisque complétement intact, d’un auteur quasi-inconnu : des manuscrits en bon état physique à l’état définitif avec ratures et corrections diverses. Le tout constitue un ensemble cohérent avec une autobiographie originale (Ms44), 47 pièces de théâtre (Ms39), 2 confessions apocryphes, un roman épistolaire (Ms46) et un recueil de chansons (Ms31), soit 8 volumes de feuillets reliés au XIXe siècle. J’ai appris par la suite avec l’équipe des bibliothécaires qu’une conversion rétrospective totale des archives avait été effectuée en 2007 dans votre outil puis qu’une première mise à jour des inventaires avait suivi récemment, avec l’aide de l’agence Mobilis et de Manon Hue, catalogueuse itinérante.
Il y a toujours une part magique de sérendipité dans le parcours d’un chercheur, offrant ce genre de découverte inattendue et fructueuse. Le CCFr est une des clés pour ce type de gisement documentaire si précieux, tel ce fonds passionnant d’un auteur assez oublié. Ces pépites littéraires m’attendaient dans les réserves de la bibliothèque de ma localité, matériau de choix pour un travail de valorisation en cours et une avancée probante dans une part de l’histoire littéraire du XVIIIe siècle.
En quoi cette trouvaille archivistique est-elle particulière ?
Cet auteur nous étonne ici à la fois par la profusion, la diversité et la cohérence surprenante de son œuvre. Tout un pan de sa création se dévoile dans les fonds retrouvés à Laval. On le connaissait poète et romancier à succès avec la série en 4 titres de « L’Aventurier français » parus à partir de 1782, annonçant la technique du roman à suites. Il se révèle aussi comme un dramaturge très prolixe, et auteur de chansons et charades.
Personnalité avant-gardiste et inclassable, il est à la fois détesté par ses pairs et adoré par le public. Certains de ses romans peuvent relever des genres de la para-littérature et être considérés comme des précurseurs des romans noirs du début du XIXe siècle et des romans criminels. D’autres, en évoquant les plus récentes découvertes de leur temps, s’inscrivent dans la veine des romans scientifiques de la fin du XVIIIe siècle.
Et toute une partie de sa création reste encore à découvrir ! Il s’est avéré en effet que la deuxième partie du fonds, intitulé 17J Queruau-Lamerie (du nom de son légataire), était consultable aux Archives départementales de la Mayenne, décrite comme « pièces curieuses presque toutes importantes de la période révolutionnaire » : nombreux cahiers, notes éparses, romances, 50 pièces de vers et chansons.
J’ai essayé de remonter autant que possible la transmission de ces fonds pour en comprendre l’origine lavalloise et la répartition des pièces : documents de bonne tenue reliés à la bibliothèque, d’autres plus historiques, de grand format, aux archives. Tous ces éléments se révèlent en effet déterminants pour l’histoire intégrale de la collection, le choix des lieux de conservation étant rarement anodin et partie intégrante de l’appréhension totale des sources. Reste ensuite aux outils numériques d’en établir la complétude nécessaire comme le fait votre catalogue. En résumé, le curieux cheminement de ces archives aux faibles mentions de provenance, provient, comme souvent, d’un enchevêtrement de hasards géographiques et d’héritages familiaux.
Enfin, tout ceci, à l’appui de certaines circonstances favorables, le croisement des professions chercheur/professionnel de la documentation et la richesse flagrante des informations glanées m’a conduite au fil des années à travailler activement à la reconnaissance et visibilité de cet auteur.
Quels ont été alors, les aboutissements concrets de vos projets autour de ces fonds ?
La publication de l’autobiographie inédite de Robert-Martin Lesuire avec une édition critique en août 2018 : « Robert, ou Confessions d’un homme de lettres : pour servir à l’étude de la nature et de la société ».
’ouverture du site : Connaissez-vous Lesuire ? Robert-Martin Lesuire, un écrivain des Lumières à découvrir en février 2021, via la plateforme EMAN, Édition de Manuscrits et d’Archives Numériques (Thalim, CNRS-ENS-Sorbonne nouvelle) en partenariat avec l’ITEM.
Il s’agit ici de diffuser et transcrire pour un public intéressé plusieurs dizaines de manuscrits de l’homme de lettres avec des textes introuvables par ailleurs. Cet ensemble constitue un corpus original pour une analyse des pratiques d’écriture en phase avant-textuelle et des modalités de diffusion des écrits à côté des circuits des imprimés. Le site, en constant enrichissement via un actif moissonnage, a pu être alimenté en numérisations grâce à une convention avec les Archives départementales de la Mayenne.
A l’avenir ? L’espoir que de nouvelles sources documentaires sur Lesuire ou d’autres figures littéraires soient mises à jour et inventoriées dans d’autres établissements de conservation pour continuer ce projet, et bien d’autres encore. Tout ceci laissant envisager de riches perspectives pour le monde de la recherche et celui des bibliothèques…
- Sur le site Eman : Chanson. [C’est une femme qui parle…]
- CESAR (Calendrier Electronique des spectacles sous l’Ancien Régime et la Révolution
- Créée à l’Oxford Brookes University en 2001, cette base de données reconnue internationalement, recense les textes dramatiques, leurs différentes éditions et mises en scène, les lieux et les personnalités du monde du spectacle (auteurs, acteurs, scénographes, troupes, éditeurs, etc.).
TapIR… et vous
Lors de ce premier semestre, le programme de formation pour l’outil TapIR (Traitement automatisée pour la production d’instrument de recherche) reste très soutenu en fonction des besoins et des demandes, que ce soit à la BnF ou en région.
La nouvelle formule dynamisante a un objectif : l’autonomie de l’utilisateur face à la publication de ses inventaires de manuscrits et archives dans le CGM.
Les ateliers TapIR en 3 étapes :
- un module préliminaire avec une sensibilisation à l’EAD et à l’archivistique ; 2 heures en distanciel
- un atelier de prise en main de l’outil avec un accompagnement personnalisé des chantiers de signalement ; 2 jours en présentiel
- un rendez-vous post-formation quelques semaines après l’atelier pour aider et accompagner dans la création des premiers instruments de recherche en EAD ; en distanciel
Le tour de France 2022 de TapIR :
- Bourgogne-Franche-Comté : Dijon (5 et 6 mai)
- Ile-de-France : Paris, à la Bibliothèque nationale de France (17-18 mai, 15-16 juin)
- Bretagne : Rennes (24 et 25 mai)
- Auvergne-Rhône-Alpes : Lyon (2 et 3 juin)
- Centre-Val-de-Loire : Issoudun (9 et 10 juin)
- Occitanie : Toulouse (30 juin et 1er juillet)
Pour le second semestre, un nouveau planning de formations sera proposé ultérieurement. Si vous avez des projets de signalement, n’hésitez pas !
CONTACT : manuscritsccfr@bnf.fr
La famille TapIR s’agrandit !
L’outil de publication accueille depuis le mois d’avril les données du Répertoire en langage XML EAD (Encoded Archival Description) pour la gestion des notices descriptives des fonds.
Le plus pour les utilisateurs ?
Un référencement renforcé des informations offrant des possibilités de recherche réellement accrues. Une réutilisation des données du Répertoire, placées sous Licence Ouverte et déposées sur les plateformes api.bnf.fr, data.gouv.fr et data-culture.gouv.fr grandement facilitée.
Le plus pour les professionnels de bibliothèque ?
La possibilité de réutiliser les informations dans différents systèmes (le nouveau format est largement partagé au sein de la communauté des bibliothèques), avec une complétude satisfaisante et le bénéfice d’une totale prise en main de la gestion en ligne (création, modification, prévisualisation, publication) des fonds et leurs sous-fonds.
Quels ont été les éléments permettant cette transition dans TapIR ?
Un nouveau formulaire de saisie a été élaboré. Simple d’utilisation et ouvert à tout professionnel, il ne nécessite pas de formation spécifique, hormis une prise en main accompagnée, si nécessaire, et une inscription au préalable. La conversion à la norme XML-EAD des données du Répertoire de Fonds permet le rapprochement avec les sources du CCFr utilisant le même format (CGM, Calames ou BnF-Archives et manuscrits).
Et quels changements pour les notices descriptives des fonds ?
Leur contenu reste identique. Leur profil général a simplement évolué et s’apparente désormais structurellement à celui des inventaires du Catalogue général des manuscrits (CGM). Leurs spécificités étant conservées, elles intègrent divers avantages dont un signalement plus efficace et une interoperabilité accrue.
Comment adopter ces évolutions ?
En tant qu’utilisateur : comme avant, tout simplement. Cherchez, trouvez et consultez le Répertoire de Fonds sur l’interface publique ! Les facettes, critères de recherche, listes de résultats conservent les mêmes fonctionnalités sur le portail du CCFr.
En tant que professionnel : en vérifiant son accès à TapIR pour y retrouver ses fonds existants et gérer la mise à jour de leur contenu avec le nouveau bordereau de saisie proposé en ligne.
Pour une intervention occasionnelle dans le Répertoire de Fonds, un bordereau Word est à compléter et à renvoyer à repertoireccfr@bnf.fr.
Du côté des partenaires du CCFr
Une cartographie dynamique pour les chercheurs et un usage optimal des collections et des fonds : en ligne de mire du groupement d’intérêt scientifique (GIS) CollEx-Persée.
Les acteurs de ce réseau, infrastructure de recherche en information scientifique et technique, co-piloté par la Bibliothèque nationale universitaire de Strasbourg et le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, se sont fortement impliqués pour un enrichissement des pistes de recherches.
L’objectif principal de cette coopération est de décrire de manière exigeante et complète, des collections labellisées « Collections d’Excellence ». Y sont signalées des ressources utilisées par les chercheurs, leur facilitant ainsi l’accès à l’information documentaire.
Un modèle de données a été mis en œuvre valorisant les thématiques des corpus documentaires au sein même du Catalogue collectif de France via le Répertoire de Fonds.
Résultat : en 2022, plus de 700 fonds Collex pour le Répertoire !
Ce fonds compte près de 7 000 dessins naturalistes. Ils illustrent divers sujets zoologiques et botaniques, mais partagent tous la même technique de représentations à l’aquarelle ou à la gouache sur une peau de veau mort-né. Constituée à partir de 1630 par Gaston d’Orléans, frère de Louis XIII, cette collection prestigieuse a été continuée grâce à Colbert qui a instauré l’habitude, encore poursuivie de nos jours, de commander des pièces aux artistes animaliers et botanistes attachés au Museum.
Cyclamen Antioch, Robert (Nicolas)
Cote : Portefeuille 17, folio 35 Muséum national d’histoire naturelle (Paris) - Direction des bibliothèques et de la documentation
- Réseau Calames : publication du Rapport statistique 2021.
- Culturicimes : la médiathèque numérique, volet patrimoine des bibliothèques du réseau départemental haut alpin, créée dans le cadre d’un label «Bibliothèque numérique de référence» (BNR).
- Les enluminés (ARL Provence-Alpes-Côte d’Azur) et livrelecture_bfc (Agence Livre et Lecture Bourgogne-Franche-Comté) : deux comptes à suivre sur Instagram pour découvrir les richesses du patrimoine écrit en région.
- Les Secrets du livre ancien révélés : exposition en ligne du Centre culturel irlandais avec la conférence inaugurale de Malcolm Walsby, responsable scientifique.
Agenda du CCFr et de la Coopération
- Webinaire explicatif, le 21 juin prochain à 10h : Gérer ses notices descriptives de fonds dans TapIR pour le Répertoire de Fonds. Inscription auprès de repertoireccfr@bnf.fr.
- 18esJournées des Pôles Associés et de la Coopération (JPAC) à Paris - BnF (site François-Mitterrand) et dans des établissements partenaires de la BnF, du lundi 17 octobre après-midi au mercredi 19 octobre 2022.
Le programme s’organisera autour de sessions plénières (le mardi toute la journée) et d’un programme d’ateliers et de visites (le lundi après-midi et le mercredi). A venir l’ouverture des inscriptions en ligne et le programme détaillé de ces JPAC 2022.
Question/réponse sur le CCFr
Question : Pourquoi la base Palme va-t-elle disparaître et par quoi sera-t-elle remplacée ? Quel est son contenu et son avenir ?
Réponse : Les données de Palme (Répertoire des manuscrits littéraires français du XXe siècle), accessibles via l’interface de recherche Manuscrits et Archives, sont issues d’une aventure bibliographique qui a perdu de son sens.
Ces données, partielles, parfois très succinctes, ont été converties de l’Intermarc vers l’EAD en même temps que le Catalogue général des Manuscrits afin de maintenir un accès à des collections qui n’étaient parfois signalées nulle part ailleurs.
Dès l’origine, sa disparition était programmée ; les manuscrits décrits ayant vocation à être signalés dans le CGM à son profit.
Au fur et à mesure de l’avancée de la mise à jour de ce dernier, les données de Palme doivent donc être supprimées. Bien qu’elles soient présentes dans TapIR (outil de catalogage), elles ne doivent pas être mises à jour ou modifiées et leur re-publication est impossible dans le CCFr.
Pour être au plus près des besoins de ses utilisateurs, le CCFr déploie et diversifie son offre de formation et de présentation de ses outils spécifiques. Ainsi, des vidéos d’information générale et des vidéos de formation ont été réalisées.
Localiser des documents grâce au CCFr (vidéo de présentation)
Le CCFr – Vidéos de présentation