Lettre du CCFr nº46 (mars 2024)

Actualités de la Base patrimoine

50 000 notices bibliographiques issues de plus de trente « fonds particuliers » ! Une masse inédite de documents versés en dons ou legs, du XVIIIe siècle à nos jours, par diverses personnalités et familles. C’est le résultat d’un travail mené à Dijon avec la Bibliothèque municipale suite à un versement dans la Base patrimoine.

 

 

Ces fonds dijonnais, spécifiques, se caractérisent par leur complémentarité et la diversité de leurs contenus. Les thèmes en sont extrêmement variés :

Quant à la Bibliothèque Muteau, constituée par une lignée de parlementaires et d’hommes politiques bourguignons de 1870 à 1930, on y découvre à peu près tout parmi ses 16 000 notices : du droit aux partitions musicales et à la littérature populaire.

Diverses autres ressources patrimoniales dijonnaises sont également mises en valeur grâce au CCFr telles des collections iconographiques en constant enrichissement et en partie numérisées, le fonds Pardé du lycée de jeunes filles-collège Marcelle Pardé, la Réserve ou le riche fonds de l’Union départementale CGT 21 composé de plusieurs grands ensembles (bibliothèques de syndicats du livre, du militant André Gervais et de la Bourse du travail de Dijon).

À consulter les fonds particuliers de la bibliothèque municipale de Dijon.

À découvrir :

 

Recommande toi bien à Dieu, illustration de Clément-Pierre Marillier pour La Barbe-Bleue dans le Cabinet des fées, 1785. Dessin original lavé à l‘encre de Chine (28,5 x 20,2 cm) ©BnF/dep. Manuscrits (Fonds Rothschild, Picot 225) - CCFr/Base patrimoine

À consulter « Le cabinet des fées ou Collection choisie des contes des fées, et autres contes merveilleux » du fonds particulier Muteau. Ce recueil, comprenant 41 volumes, présente les textes d’une quarantaine de conteurs du XVIIe et XVIIIe siècle. Chaque volume est illustré de 3 gravures dessinées par Clément-Pierre Marillier.

Lire sur Gallica « Les Mille et une nuits » Tome 38, édité en 1785-1789.

Voir le Cabinet des fées dans l’ exposition « Contes de fées » réalisée par la BnF en 2001.

 

 

Voir aussi le versement de différents fonds :

  • À la bibliothèque francophone multimédia de Limoges :
    Le fonds de Paulette et Jean Marie Masse (1921-2015). Ce dernier fut le créateur du Hot club de Limoges en 1948 et a légué l’intégralité de sa collection particulière dédiée au jazz, au blues et au gospel comptant des milliers de disques (pyrals et vinyles), livres, périodiques, photographies, documentation et archives.
    S’y ajoutent le fonds dit « du Séminaire », encyclopédique et religieux, avec plus de 4 500 notices bibliographiques datant du XVIe au XIXe siècle et la bibliothèque d’ Antoine Perrier (1893-1984), géographe urbain, historien social et actif correspondant du dictionnaire Maitron.
    Le tout est complété par le fonds (Frédéric) Romanet du Caillaud, comte de Sudbury (1847-1919), comprenant des livres sur les voyages et la religion catholique ainsi que des écrits d’auteurs jésuites.
  • Deux fonds anciens issus des bibliothèques municipales de Pons (médiathèque Pierre-Sénillou) avec l’Agence régionale Alca Nouvelle-Aquitaine et de Brioude avec celle d’Auvergne-Rhône-Alpes Livre et lecture.

 

Manuscrits et archives (CGM)

Quelques publications récentes d’inventaires dans le Catalogue général des manuscrits (CGM)

 

Des Archives départementales :
Celles des Ardennes, grâce au programme régional coordonné par Interbibly, pour l’inventaire du fonds André Dhôtel (1900-1991), auteur de quelques 70 ouvrages dont une quarantaine de romans à l’univers singulier. La collection, décrite sur 561 composants, en cours de classement et traitement, rassemble tous ses manuscrits et correspondances. 200 cahiers de notes préparatoires témoignent de la préparation minutieuse de son œuvre avec un travail de réflexion important sur les lieux et personnages. Chaque future publication est composée de 10 à 12 cahiers comme pour « Le pays où l’on n’arrive jamais », roman publié en 1955, prix Femina.

 
Les coulisses du catalogage ©Droits photo Interbibly - CCFr/CGM
 
Les coulisses du catalogage ©Droits photo Interbibly - CCFr/CGM

 

En savoir plus :

 

Celles du Calvados avec l’inventaire des monographies communales, collection qui rassemble près de 180 documents manuscrits, tous numérisés, rédigés entre 1856 et 1911 par les instituteurs-trices du département à la demande de l’Inspecteur d’académie départementale. De quelques feuillets à plusieurs centaines de pages, avec parfois de riches illustrations, ces documents sont une source exceptionnelle pour l’histoire des communes du Calvados.

 
Louis Roussel. Monographie de la commune d’Etréham - ©BH/BR/9384 Archives du Calvados - CCFr/CGM
Eugénie Hersan. Monographie de la commune d’Auquainville -
©5num/54Archives du Calvados - CCFr/CGM

 

Le Musée Alexandre Dumas de Villers-Cotterêts, avec l’Agence AR2L dans le cadre d’un programme régional des Hauts-de-France :

L’inventaire du fonds Dumas avec des documents concernant trois générations, le général Dumas (1762-1806), Dumas père (1802-1870) et Dumas fils (1824-1895). Y sont regroupés, sur 518 composants, des archives, des manuscrits, de la correspondance, plusieurs portraits et quelques documents attachés à d’autres membres de la famille.

En savoir plus :

 
Le Comte de Monte-Christo. Illustré par Riou / Alexandre Dumas. 1893 - CCFr / CGM
 
Le Comte de Monte-Christo. Illustré par Riou / Alexandre Dumas. 1893 - CCFr / CGM

 

Voir aussi :

 

Des bibliothèques municipales :

À Orléans, la médiathèque à vocation régionale, livre l’inventaire de la collection Georges Bataille (1897-1962), écrivain et philosophe français, bibliothécaire de la ville de 1951 à 1962. Outre ses écrits et sa correspondance, y sont rassemblés des témoignages de sa vie professionnelle et personnelle lorsqu’il y était en activité. Les types de documents conservés sont très variés : manuscrits et tapuscrits, documents sonores, photographies, brochures, coupures de presse.

 
Ensemble de documents relatifs à un entretien de Georges Bataille en 1961, à Orléans, par Madeleine Chapsal (MS 2614, 1961) ©Ville d’Orléans - CCFr / CGM
 
MS 2614, 1961 - ©Photographies M. Charpentier - CCFr / CGM

 

À consulter :

À Pons, la médiathèque Pierre-Sénillou avec Alca Nouvelle-Aquitaine, publie deux inventaires : le fonds Combes avec les archives du ministre d’État Emile Combes (1835-1921) et de son petit-fils André Bron (1897-1991) et le fonds William Augereau (1850-1940) propriétaire d’une distillerie de Cognac avec les documents de sa gestion et une nombreuse correspondance technique relative à ses inventions d’ingénierie ferroviaire.

Au Havre, finalisation des inventaires de la collection de documents totalisant plus de 6 800 composants rassemblés par Bernard Esdras-Goss (1903-1962), journaliste, historien, romancier, critique d’art conservée à la Bibliothèque municipale Armand Salacrou.

À consulter dans le Répertoire du CCFr : les fonds ancien, Combes, William Augereau à Pons et Bernard Esdras-Goss au Havre

Autres publications : L’inventaire des archives de la Société des Gens de Lettres à Paris.

 

Le CCFr a rencontré…

Gwenhael Kernemp, responsable des périodiques et des collections éphémères au Musée des Arts Décoratifs (MAD/département Bibliothèque-Archives-Documentation) - Paris
Rencontre avec Gwenhael Kernemp, bibliothécaire, responsable des périodiques et des collections éphémère au MAD - Musée des Arts Décoratifs à Paris (département Bibliothèque-Archives-Documentation).
Quelle est la spécificité de la bibliothèque du musée des Arts Décoratifs ?

Depuis 1864, y sont conservés des livres anciens rares et précieux, des estampes de mode, gravures d’ornemanistes, revues, catalogues d’exposition, catalogues de vente aux enchères et catalogues commerciaux dans les domaines des arts décoratifs, de l’histoire de l’art, de l’architecture et du design.
La salle de lecture abrite la collection iconographique Maciet regroupant dans 4 729 albums plus de 80 000 gravures et photographies découpés dans tous les supports possibles. La bibliothèque conserve aussi les fonds d’archives institutionnelles de l’Union Centrale des Arts Décoratifs, plus de 200 fonds d’archives privées, la documentation sur les collections du musée et enfin, la collection des éphémères.

 

Cette dernière constitue l’héritage direct des albums Maciet. En effet, leur réalisation s’est arrêtée en 1911 mais les bibliothécaires l’ont faite perdurer en collectant et conservant les dons divers de collectionneurs. Par la suite, une réserve spéciale a été créée en 1996 au vu de la montagne de documents constituée pour assurer la continuité de l’œuvre de Jules Maciet (1846-1911).

Peux-tu nous présenter la collection des éphémères ?

Les éphémères font partie de la culture du quotidien et nous sont familiers. Ni livres, ni périodiques, ni manuscrits, ce type de document est lié à des circonstances et à des usages auxquels, la plupart du temps, ils ne sont pas destinés à survivre. Ils sont donc signalés de façon très inégale. Leur traitement et prise en charge sont spécifiques et exigent des préconisations et choix liés autant à l’histoire de la collection qu’aux forces humaines en place. Je m’y suis attelée en 2022 tout en m’occupant des périodiques de la bibliothèque. Il était important pour moi d’adopter d’emblée une méthodologie de travail alliant efficacité et visibilité, ceci pour me motiver, en oubliant toute notion d’exhaustivité.

Au MAD, ils se caractérisent par leur très grande diversité de supports se répartissant sur plusieurs ensembles. Le tout avait fait, au préalable, l’objet de tris et de classements colossaux que j’ai continué. J’ai ensuite fait le choix de travailler précisément (inventaire et catalogage) sur quelques catégories distinctes en les signalant de façon adéquate sur plusieurs bases bibliographiques. Depuis deux ans, j’ai traité plus d’une dizaine de fonds, soit en les cataloguant directement sur notre portail, soit en leur donnant une visibilité sur le Répertoire du CCFr. Le travail est très loin d’être achevé : j’ai sélectionné, pour le moment, parmi les fonds dits « fermés », les plus pertinents et les plus recherchés.

Exemples :

Et comment, concrètement, as-tu pu les signaler ?

Le tout premier traitement en UNIMARC (UNIversal MAchine Readable Cataloguing) a très vite montré ses limites et ce, dès 2014. Il était urgent de trouver une issue. Et TapIR (Traitement Automatisé pour la Production d’Instruments de Recherche) est arrivé ! Décrire cette collection disparate aux multiples ramifications via le formulaire Fonds de l’application a été la solution et a permis un grand bond en avant. J’ai pu appréhender beaucoup plus sereinement le traitement de tous ces éphémères aussi bien globalement que de façon parcellaire. La structure d’ensemble du formulaire Fonds emprunte sa logique au langage EAD (Encoded Archival Description). Ceci m’a permis de constituer une première architecture avec création de fonds et sous-fonds pour une visibilité d’ensemble assez pertinente et suffisante pour nos attentes et celles du public. Les notices descriptives sont complétées précisément ou non selon mes avancées, via les différents champs thématiques avec des indexations et de nombreux liens « passerelles ». Ce signalement offre une alternative intéressante à la rédaction archivistique d’un inventaire du Catalogue général des manuscrits, au vu de la particularité du contenu, en marge, entre imprimés, manuscrits et objets utilitaires.

La deuxième bouée de sauvetage, pour ma mission, fut la mise en ligne, fin 2023 d’un outil essentiel : le Thésaurus des Ephemera en français porté par une équipe d’universitaires et de professionnels de bibliothèques (voir ci-dessous).

De grandes portes s’ouvrent, enfin, pour le traitement des éphémères en bibliothèque. Tout reste à faire, en la matière, au MAD, mais désormais je suis armée et surtout aidée !

En savoir plus sur :

 

 
Qui était Jules Maciet ?
De la fin des années 1880 à sa mort, Jules Maciet, amateur et collectionneur, membre du conseil d’administration, réunit, avec l’aide de la bibliothèque et de nombreux autres contributeurs, des centaines de milliers de gravures, photographies. Ceci s’effectue à partir du projet initial, l’élaboration d’un recueil méthodique d’ornements, du conservateur de la bibliothèque Alfred de Champeau. Les documents, de toutes provenances, sont alors tirés de catalogues, livres et revues. Son objectif était de donner des motifs et modèles aux artisans d’art. Il les découpe, les trie et les colle sur 415 000 feuilles dans des albums grands formats et imagine une classification systématique dans l’esprit encyclopédique du XIXe siècle.
Buvards. Energie, appareils ménages et produits divers. Ressource graphique. EPH-BUV 3-1 - ©MAD - CCFr/Répertoire de fonds
Programme de spectacle. Théâtre Bobino Music-Hall,1935 - ©MAD - CCFr/Répertoire de fonds

 

Voir la collection Maciet :

Actualités des partenaires du CCFr

Qu’est-ce que PatrimEph (Patrimonisalisation des éphémères) ?

C’est un programme universitaire de recherche lancé en 2013 pour interroger la place des éphémères dans notre patrimoine écrit, décliné en plusieurs étapes.
PatrimEph I (2013-2016), a étudié les difficultés de nomination, de classement, de signalement que les éphémères généraient, mais aussi leur rôle dans la construction de notre histoire culturelle.
PatrimEph II (2016-2019) a approfondi l’étude concrète de leurs usages, appropriations et circulation.

Le projet ThesaurEph le finalise avec la mise en ligne du thésaurus des ephemera en français. Soutenu en 2023 par l’IRIHS (Université Rouen Normandie), cet outil collaboratif, encore en chantier, est conduit sous l’égide d’un groupe d’experts franco-britanniques (Michael Twyman, Séverine Montigny, Alan Marshall, Julie Anne Lambert et Thierry Depaulis). Il s’inspire du Thesaurus of ephemera terms élaboré par le Centre for ephemera studies de l’Université de Reading adopté par la British Library et la Library of Congress.
Cette équipe a constitué un ensemble riche de plus de 2 000 termes, avec des entrées structurées et hiérarchisées avec Opentheso, logiciel libre de gestion de thésaurus multilingues.
Tout un réseau scientifique interdisciplinaire, international et inter-institutionnel autour de la question des éphémères, avec les professionnels de bibliothèques et archives, attendait ce thésaurus français mis à la disposition de tous.

Programme porté par Cergy Paris Université  qui associe des partenaires variés (Université de Versailles Saint-Quentin, Université de Bourgogne, Université de Reading, BnF, Archives nationales, Bodleian Library à Oxford, Musée de l’imprimerie et de la communication graphique à Lyon).

 

À consulter :

 

Répertoire de Fonds : collection de 6 500 étiquettes de boite de fil commerciales, imprimées en chromolithographie, spécialité de l’imprimerie lilloise de la fin du XIXe siècle conservées et numérisées à la bibliothèque municipale de Lille.

 

Répertoire de Bibliothèques : Le département Archives de la Direction des Ressources et de l’information scientifique (DRIS) de Sciences Po avec ses archives progressivement numérisées concernant les élections législatives et présidentielles de 1958 à 2012 et les élections européennes de 1979 à 2019. Ces documents numérisés sont disponibles via la base Archelec des archives électorales du CEVIPOF sur Internet Archive pour les archives numérisées des élections présidentielles et législatives de la Ve République et les élections européennes, et sur l’interface de recherche Archelec Explorer pour les professions de foi numérisées.

En savoir plus sur :

 

 

Fil extra sans rival[étiquettes de fil]P.AéEdité par H. Laas. Paris - Sources : BM de Lille - CCFr/Répertoire de fonds

 

 
Comment rechercher des éphémères sur le CCFr ?
Taper « ephémère% » à la recherche « tous les mots » dans le Répertoire.
On peut ensuite naviguer par rebond avec le terme « Ephémères » existant dans « Thèmes » en en-tête des notices de fonds.
L’intitulé est indexé dans la notice de fonds en champs « forme libre » proposé par l’outil de catalogage TapIR.

 

Du côté du Réseau CollEx–Persée, à propos de la collection Bastaire labellisée « Collection d’excellence ».

Les trappeurs de l’Arkansas de Gustave Aimard - Fonds CollEx Jean Bastaire/CCFr-Répertoire de fonds

À consulter :

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Autres informations :

TapIR… et vous

Formation TapIR - Nouvelle formule !

La formation à l’outil TapIR évolue. Désormais, la présentation générale du CCFr en webinaire fait partie intégrante du parcours.

Prochaine session 2024 prévue :

  • le 23 mai : webinaire de présentation générale du CCFr
  • le 28 mai : webinaire préliminaire à l’atelier TapIR
  • les 6 et 7 juin : atelier TapIR sur place, à la BnF - site François-Mitterrand

Rappel : l’outil TapIR vous accompagne dans le signalement en EAD de vos manuscrits et fonds d’archives dans le Catalogue général des manuscrits (CGM) du Catalogue collectif de France (CCFr).

Voir les pré-requis, programme, informations et contact pour inscription sur la page « Formation » du site bnf.fr.

Formations « Présentation du CCFr »
Proposées en présentiel - site François-Mitterrand - ou en distanciel, les avis de formation sont annoncés via la liste de diffusion de la Coopération (cooperation@bnf.fr). Alors pensez à vous abonner !

 

Question/réponse sur le CCFr

 

 

Question : Quels sont les résultats de l’enquête sur la Lettre d’information du CCFr ?

Réponse :
Parmi les réponses reçues qui offrent un bon échantillonnage de nos 3 780 abonnés, vous appartenez majoritairement au monde professionnel du livre : bibliothécaires, responsables de fonds patrimoniaux, archivistes, documentalistes, chargés de missions… Mais vous êtes aussi, dans une moindre mesure, à 38% : chercheurs (1 personne sur 6), étudiants, passionnés d’histoire et de littérature, professeurs, en recherche d’emploi, généalogistes et retraités de France, d’Italie ou d’Espagne.
La Lettre est lue le plus souvent sur abonnement à 78%, en ligne, via l’email d’envoi jugé satisfaisant, principalement sur ordinateur.
Parmi les articles lus, vous avez donné votre préférence à l’actualité des chantiers des versements en Base patrimoine et dans le CGM. Mais c’est l’actualité des bibliothèques en général qui vous intéresse le plus.
Les liens, jugés suffisants selon vous, vers les nombreuses ressources, dans et hors CCFr, vous sont utiles à 98%.
Vos souhaits : encore plus d’illustrations (51% de oui), de partages d’expériences sur le signalement du patrimoine écrit, les évolutions techniques des outils proposés et peut-être davantage de liens vers de l’autoformation ou informations diverses sur la conservation. Le format, la présentation et le contenu de la Lettre, avec deux niveaux de lecture (en savoir plus) vous conviennent, pas plus long, pas plus court. Elle est lue en totalité majoritairement.
Globalement, pour 70% des répondants, la Lettre répond à ce que vous avez envie de savoir sur le patrimoine écrit et les actions du CCFr.

 

Au final, les lecteurs de la Lettre sont majoritairement satisfaits (51%) voir très satisfaits (47%) ! Mais ceci ne nous empêchera pas de rechercher constamment des points d’amélioration pour les prochains numéros et rester constamment à votre écoute. Merci !

 

 

Extraits des résultats de l’enquête

Vous êtes…

 

 

Cette Lettre d’information répond-elle à ce que vous avez envie de savoir sur le patrimoine écrit et les actions du CCFr ?

Le CCFr à regarder en vidéos

Pour être au plus près des besoins de ses utilisateurs, le CCFr déploie et diversifie son offre de formation et de présentation de ses outils spécifiques. Ainsi, des vidéos d’information générale et des vidéos de formation ont été réalisées.

Le CCFr – Vidéos de présentation

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Valoriser ses collections patrimoniales avec le CCFr
La Base patrimoine – Présentation
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Le Répertoire de fonds du CCFr – Présentation
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