« Chroniques sire JEHAN FROISSART » : Le massacre des Jacques à Meaux, en 1358, enluminure (Français 2643 - fol. 226 verso), XVe siècle, BnF – département des Manuscrits
Les origines de la Grande Jacquerie sont assez mal connues. Elle semble intervenir suite à des heurts entre groupes armés et paysans, dans le contexte morose qui suit la Grande peste de 1348. La Guerre de Cent Ans reprend de plus belle en cette année 1358. Le roi Jean est prisonnier des anglais, et des troupes pillent les villages.
L’enluminure, extraite des Chroniques de Froissart, montre un des épisodes conclusifs de la Grande Jacquerie. Les paysans et les quelques seigneurs qui les ont rejoints se font massacrer par les troupes de Jean de Grailly et Gaston Fébus, alors qu’ils assiégeaient la forteresse du marché de Meaux où était réfugiée la femme du Dauphin.
Froissart, assez proche de la Cour, était pour sa part très hostile à ce mouvement insurrectionnel. Mais il est d’autres chroniqueurs, souvent aux origines modestes, qui ont souligné à quel point les conditions étaient difficiles dans la Brie du XIVe Siècle.
Les origines de la Grande Jacquerie sont assez mal connues. Elle semble intervenir suite à des heurts entre groupes armés et paysans, dans le contexte morose qui suit la Grande peste de 1348. La Guerre de Cent Ans reprend de plus belle en cette année 1358. Le roi Jean est prisonnier des anglais, et des troupes pillent les villages.
L’enluminure, extraite des Chroniques de Froissart, montre un des épisodes conclusifs de la Grande Jacquerie. Les paysans et les quelques seigneurs qui les ont rejoints se font massacrer par les troupes de Jean de Grailly et Gaston Fébus, alors qu’ils assiégeaient la forteresse du marché de Meaux où était réfugiée la femme du Dauphin.
Froissart, assez proche de la Cour, était pour sa part très hostile à ce mouvement insurrectionnel. Mais il est d’autres chroniqueurs, souvent aux origines modestes, qui ont souligné à quel point les conditions étaient difficiles dans la Brie du XIVe Siècle.
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