Hugo Reyne
Hautbois, flûte et direction
Les débuts de Giovanni-Battista Lulli
Pavane, des Pièces de Simphonie
Baptiste dansant avec Louis
Bourrée pour les Courtisans, du Ballet des Plaisirs
1653, Lulli, Compositeur de la Musique Instrumentale du Roy
La Grande Gaillarde, des Trios de la Chambre
L’Amour Malade, son premier grand ballet
1er. Air pour onze docteurs qui reçoivent un docteur en ânerie ritournelle, et 2nd. Air, pour un docteur portant une tête d’âne
Dialogue de la Musique Italienne et de la Musique Française, « Gentil Musica francesa », du Ballet de la Raillerie
Lulli et les petits violons, la petite bande
Les Contrefaiseurs, du Ballet de la Raillerie
Les Adroits et les Maladroits, du Ballet de la Revente des habits de ballet
L’Impatience
Chaconne et récit, dudit ballet
1661, Lully, Surintendant de la Musique du Roy
Ouverture, du Ballet des Saisons
Le Mariage, Jean-Baptiste épouse Madeleine née Lambert
Le Marié et la Mariée, du Ballet des Noces
Entrée du Maître d’Ecole, un peu Poète, et Compositeur Ordinaire de la Musique du village, du même ballet
Les Muses
Récit d’Orphée et d’une Nymphe « Trop indiscret Amour » et Concert d’Orphée avec son double
Lully et Molière, les deux Baptistes
Charivari grotesque, du Mariage Forcé
Air de la Musicienne « Je languis nuit et jour » et Marche pour la Cérémonie Turque, du Bourgeois Gentilhomme
1672. Louis XIV donne à son cher et bien-aimé Lully un privilège lui permettant d’établir une Académie Royale de Musique où il fera représenter ses Opéras et où il formera des élèves tant pour bien chanter et actionner sur le théâtre que dresser des bandes de violons, flûtes & autres instruments.
Ouverture de La Grotte de Versailles, première œuvre de Lully & Quinault
Pompe Funèbre et Air d’une femme affligée, « La Mort, la mort barbare » d’Alceste
Le Sommeil, d’Atys
1681. Jean-Baptiste Lully au sommet de sa gloire, triomphe encore en acquérant ses lettres de noblesse, et devient, Monsieur de Lully, Escuyer, Conseiller Secrétaire du Roy, Maison,Couronne de France & de ses Finances, et Surintendant de la Musique de Sa Majesté.
Entrée d’Apollon, du Triomphe de l’Amour
Récit d’Armide « Enfin il est en ma puissance »
Canon « Il faut mourir, pêcheur »
Passacaille, d’Achille et Polyxène, dernière pièce de Monsieur de Lully
Hautbois, flûte et direction
Soprano
Récitant
Violon I
Violon II
Basse de violon
Viole de gambe
Théorbe
Clavecin
Hautbois, flûte
Basson
Hugo Reyne et son ensemble La Simphonie du Marais revisitent un programme consacré à Jean-Baptiste Lully (1632-1687), une Apothéose de Lully, avec ses œuvres les plus emblématiques jouées chronologiquement. Cette biographie en musique retrace l’itinéraire du «créateur» de la musique française baroque.
Elle se compose d’un ensemble de pièces groupées en un prologue et cinq actes comme les opéras du Surintendant. La tonalité de sol mineur, favorite en cette fin du XVIIe siècle, a été retenue comme tonalité générale du programme. Sont également disposées des pièces dont les titres sont en rapport avec les événements de la carrière de Lully et qui leur correspondent dans le temps.
Premier concert donné par Hugo Reyne et en 1987 à Saint-Germain-en-Laye à l’occasion du tricentenaire de la mort de Lully, il marque les débuts de l’ensemble.
Coproduction La Simphonie du Marais - Hugo Reyne en partenariat avec l’association Lully. Concert réalisé dans le cadre des 30 ans de La Simphonie du Marais - Hugo Reyne et des 330 ans de la disparition de Lully