À noter : fermeture anticipée à 15 h de tous les sites de la BnF les mardis 24 et 31 décembre.
Pour rappel, tous les sites de la BnF sont fermés les mercredis 25 décembre et 1er janvier.
Histoire /
Archéologie du sport /
Autour de l'exposition « À nous les stades ! Une histoire du sport au féminin »
En écho aux Jeux olympiques et paralympiques d’Été 2024 organisés par Paris, la BnF consacre son cycle annuel « De la fouille à l’écriture de l’histoire » à l’archéologie du sport. Cette séance montrera la pertinence de l’archéologie à interroger le sport.
Qu’est-ce que le sport ? Si l’origine du mot, apparu en Angleterre au XIXe siècle, est parfaitement documentée, cette interrogation est faussement simple. À la croisée de notions aussi diverses que le jeu, les loisirs, l’éducation, le dépassement, la compétition, le spectacle, et bien d’autres comme la transmission, le sport peut être considéré, a minima, comme une pratique méthodique et répétée d’activités physiques, qu’on cherche à mieux maîtriser.
Considérant cette définition élargie, les archéologues peuvent relater une narration de la façon dont nos ancêtres s’« activaient». Interrogeant les vestiges et structures du passé, ils peuvent suggérer quand et comment certaines activités physiques sont devenues des sports organisés, comment les règles et les équipements ont évolué, comment le sport a influencé la société et la culture…
Une réflexion à mettre en perspective des Jeux Olympiques et Paralympiques de « Paris 2024 » !
En écho aux Jeux olympiques et paralympiques d’Été 2024 organisés par Paris, la BnF consacre son cycle annuel « De la fouille à l’écriture de l’histoire » à l’archéologie du sport. Cette séance montrera la pertinence de l’archéologie à interroger le sport.
Qu’est-ce que le sport ? Si l’origine du mot, apparu en Angleterre au XIXe siècle, est parfaitement documentée, cette interrogation est faussement simple. À la croisée de notions aussi diverses que le jeu, les loisirs, l’éducation, le dépassement, la compétition, le spectacle, et bien d’autres comme la transmission, le sport peut être considéré, a minima, comme une pratique méthodique et répétée d’activités physiques, qu’on cherche à mieux maîtriser.
Considérant cette définition élargie, les archéologues peuvent relater une narration de la façon dont nos ancêtres s’« activaient». Interrogeant les vestiges et structures du passé, ils peuvent suggérer quand et comment certaines activités physiques sont devenues des sports organisés, comment les règles et les équipements ont évolué, comment le sport a influencé la société et la culture…
Une réflexion à mettre en perspective des Jeux Olympiques et Paralympiques de « Paris 2024 » !