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Musique /
Les studios d’enregistrement en France
Le son des studios, la genèse de trois chansons
Les studios d’enregistrement en France – Le son des studios, la genèse de trois chansonsBnF
À l’occasion de la parution de l’ouvrage de Manuel Jacquinet, Studios de légende en France, que sont devenus nos Abbey Road français ?, une demi-journée d’étude retrace l’histoire des studios d’enregistrement en France.
Jusqu’au début des années 1960, les grandes sociétés discographiques françaises que sont Pathé (studio à Boulogne-Billancourt), Vogue (studio Hauteville), Barclay (studio Hoche) ou encore Philips (studio Blanqui) possédaient leur propre studio d’enregistrement, leur structure de distribution et parfois leur propre usine de pressage. Au tournant des années 1950/1960, les premiers studios d’enregistrement dits « indépendants », gérés et conçus par des ingénieurs du son, vont voir le jour. Au-delà des artistes et groupes français, ils accueillent, surtout à partir de la fin des années 1960, les grands noms de la scène internationale : Pink Floyd, David Bowie, The Cure, Prince, les Rolling Stones, et plus récemment Lady Gaga, Eminem ou encore Arcade Fire, ont défilé dans ces lieux secrets où sont réalisés les succès d’hier et d’aujourd’hui.
Retour sur la création de trois chansons en présence des ingénieurs du son qui les ont enregistrées. Laurent Thibault évoquera Champagne de Jacques Higelin, Steven Forward le titre Bonnie and Clyde d’Axel Bauer et Patrick Jauneaud un titre de Piers Faccini. Modérateur : Pascal Bussy.
À l’occasion de la parution de l’ouvrage de Manuel Jacquinet, Studios de légende en France, que sont devenus nos Abbey Road français ?, une demi-journée d’étude retrace l’histoire des studios d’enregistrement en France.
Jusqu’au début des années 1960, les grandes sociétés discographiques françaises que sont Pathé (studio à Boulogne-Billancourt), Vogue (studio Hauteville), Barclay (studio Hoche) ou encore Philips (studio Blanqui) possédaient leur propre studio d’enregistrement, leur structure de distribution et parfois leur propre usine de pressage. Au tournant des années 1950/1960, les premiers studios d’enregistrement dits « indépendants », gérés et conçus par des ingénieurs du son, vont voir le jour. Au-delà des artistes et groupes français, ils accueillent, surtout à partir de la fin des années 1960, les grands noms de la scène internationale : Pink Floyd, David Bowie, The Cure, Prince, les Rolling Stones, et plus récemment Lady Gaga, Eminem ou encore Arcade Fire, ont défilé dans ces lieux secrets où sont réalisés les succès d’hier et d’aujourd’hui.
Retour sur la création de trois chansons en présence des ingénieurs du son qui les ont enregistrées. Laurent Thibault évoquera Champagne de Jacques Higelin, Steven Forward le titre Bonnie and Clyde d’Axel Bauer et Patrick Jauneaud un titre de Piers Faccini. Modérateur : Pascal Bussy.