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Musique /
Les studios d’enregistrement en France
Les studios d’enregistrement en France – Clôture musicale
Les studios d’enregistrement en France – Clôture musicaleBnF
Les studios d’enregistrement en France – Clôture musicale
10 mar. 2022 Durée : 49 min
À l’occasion de la parution de l’ouvrage de Manuel Jacquinet, Studios de légende en France, que sont devenus nos Abbey Road français ?, une demi-journée d’étude retrace l’histoire des studios d’enregistrement en France.
Jusqu’au début des années 1960, les grandes sociétés discographiques françaises que sont Pathé (studio à Boulogne-Billancourt), Vogue (studio Hauteville), Barclay (studio Hoche) ou encore Philips (studio Blanqui) possédaient leur propre studio d’enregistrement, leur structure de distribution et parfois leur propre usine de pressage. Au tournant des années 1950/1960, les premiers studios d’enregistrement dits « indépendants », gérés et conçus par des ingénieurs du son, vont voir le jour. Au-delà des artistes et groupes français, ils accueillent, surtout à partir de la fin des années 1960, les grands noms de la scène internationale : Pink Floyd, David Bowie, The Cure, Prince, les Rolling Stones, et plus récemment Lady Gaga, Eminem ou encore Arcade Fire, ont défilé dans ces lieux secrets où sont réalisés les succès d’hier et d’aujourd’hui.
Les Facteurs chevaux
Duo musical de Sammy Decoster et Fabien Guidollet, de chanson française folk
À l’occasion de la parution de l’ouvrage de Manuel Jacquinet, Studios de légende en France, que sont devenus nos Abbey Road français ?, une demi-journée d’étude retrace l’histoire des studios d’enregistrement en France.
Jusqu’au début des années 1960, les grandes sociétés discographiques françaises que sont Pathé (studio à Boulogne-Billancourt), Vogue (studio Hauteville), Barclay (studio Hoche) ou encore Philips (studio Blanqui) possédaient leur propre studio d’enregistrement, leur structure de distribution et parfois leur propre usine de pressage. Au tournant des années 1950/1960, les premiers studios d’enregistrement dits « indépendants », gérés et conçus par des ingénieurs du son, vont voir le jour. Au-delà des artistes et groupes français, ils accueillent, surtout à partir de la fin des années 1960, les grands noms de la scène internationale : Pink Floyd, David Bowie, The Cure, Prince, les Rolling Stones, et plus récemment Lady Gaga, Eminem ou encore Arcade Fire, ont défilé dans ces lieux secrets où sont réalisés les succès d’hier et d’aujourd’hui.